C’est délirant... supposer l’existence d’une essence pure du fascisme (tout en prétendant paradoxalement combattre contre le fantasme de "pureté"...) qui prendrait indifféremment la forme d’une régime politique ou d’une idéologie politico-religieuse à travers le temps et l’espace, c’est ni plus ni moins agiter le fantasme du Diable.