Hijack ... Hijack ... 5 août 2014 01:30

Il est vrai qu’il peut exister plus sioniste que Hollande ou Sarko, surtout ceux qui dénoncent ou font semblant en temps calme, mais s’y soumettent lâchement par admiration de la féroce lâcheté sioniste.
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Il y en a qui ont voté, j’en conviens pour le sioniste qui n’était pas annoncé comme tel, je parle de Hollande qui en devient une larve par impuissance à ce sionisme, ou par arrivisme comme Sarko. D’autres comme Marine récemment, assurément non sioniste, mais contrainte de s’y soumettre et qui commet la plus grande erreur politique de sa carrière, nous le constaterons dans les moins qui viennent, sauf changement radical de sa part, mais j’en doute ...
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Alors, lorsque l’ont est pro sioniste non par reconnaissance de cette idéologie, mais seulement par besoin, croyant que ces sionistes vont faire à leur place le sale boulot ... ça porte un nom !!! Ils en viennent même à avoir pour cela le même discours que bcp d’islamistes navigant sur la toile, donnant exactement les mêmes sources, ayant les mêmes amis et ennemis, les mêmes arguments, un genre de Moualek indigène (même misérabilisme dans le discours, mêmes insultes à la place d’arguments, mensonges, lâcheté ...). Le pire, c’est qu’ils sont, resterons et seront pour tjrs les dindons de leur propre face, la preuve, ils se reconnaissent tjrs , nullement par intelligence comme ils pensent l’être (aucun idiot ne devine qu’il l’est), mais seulement par admiration hystérique intérieure, une sorte de jouissance inversée pour ce qui se passe actuellement à Gaza, des sous-hyènes, car loin de moi la pensée de dénigrer ces animaux, qui eux se comportent tels qu’ils ont été créés.
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Le problème est que tout est mal barré. Les sionistes perdront, comme le prévoient les vrais rabbins de la Torah et in fine, les vrais victimes seront les juifs qui seront aussi les plus manipulés par leur folle idéologie soi disant religieuse mis en place par des non religieux ...
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Lire, ci-dessous un des plus excellents articles sur le Sionisme depuis son origine, ses dérives et objectifs réels, même si le titre ne le laisse pas croire, mais le sous-titre assurément  :
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ISRAËL
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Qui est l’ennemi ?
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par Thierry Meyssan

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RÉSEAU VOLTAIRE | DAMAS (SYRIE) | 4 AOÛT 2014
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Chacun a son opinion pour expliquer les massacres commis par l’État d’Israël à Gaza. Alors que dans les années 70 et 80, on y voyait une manifestation de l’impérialisme anglo-saxon, beaucoup l’interprètent aujourd’hui comme un conflit entre juifs et arabes. Revenant sur la longue période —quatre siècles d’Histoire—, Thierry Meyssan, consultant auprès de plusieurs gouvernements, analyse l’origine du sionisme, ses véritables ambitions, et détermine qui est l’ennemi.

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Petit extrait (très long article à enregistrer sur son pc).
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Qu’est ce que le sionisme ?

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Au milieu du XVIIe, les calvinistes britanniques se regroupèrent autour d’Oliver Cromwell et remirent en cause la foi et la hiérarchie du régime. Après avoir renversé la monarchie anglicane, le « Lord protecteur » prétendit permettre au peuple anglais de réaliser la pureté morale nécessaire pour traverser une tribulation de 7 ans, accueillir le retour du Christ et vivre paisiblement avec lui durant 1 000 ans (le « Millenium »). Pour ce faire, selon son interprétation de La Bible, les juifs devaient être dispersés aux confins de la terre, puis regroupés en Palestine et y reconstruire le temple de Salomon. Sur cette base, il instaura un régime puritain, leva en 1656 l’interdiction qui était faite aux juifs de s’installer en Angleterre et annonça que son pays s’engageait à créer en Palestine l’État d’Israël.

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La secte de Cromwell ayant été à son tour renversée à la fin de la « Première Guerre civile anglaise », ses partisans tués ou exilés, et la monarchie anglicane ayant été rétablie, le sionisme (c’est-à-dire le projet de création d’un État pour les juifs) fut abandonné. Il ressurgit au XVIIIe siècle avec la « Seconde Guerre civile anglaise » (selon la dénomination des manuels d’Histoire du secondaire au Royaume-Uni) que le reste du monde connaît comme la « guerre d’indépendance des États-Unis » (1775-83). Contrairement à une idée reçue, celle-ci ne fut pas entreprise au nom de l’idéal des Lumières qui anima quelques années plus tard la Révolution française, mais financée par le roi de France et conduite pour des motifs religieux au cri de « Notre Roi, c’est Jésus ! ».
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George Washington, Thomas Jefferson et Benjamin Franklin, pour ne citer qu’eux, se sont présentés comme les successeurs des partisans exilés d’Oliver Cromwell. Les États-Unis ont donc logiquement repris son projet sioniste.
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En 1868, en Angleterre, la reine Victoria désigna comme Premier ministre, le juif Benjamin Disraéli. Celui-ci proposa de concéder une part de démocratie aux descendants des partisans de Cromwell de manière à pouvoir s’appuyer sur tout le peuple pour étendre le pouvoir de la Couronne dans le monde. Surtout, il proposa de s’allier à la diaspora juive pour conduire une politique impérialiste dont elle serait l’avant-garde. En 1878, il fit inscrire « la restauration d’Israël » à l’ordre du jour du Congrès de Berlin sur le nouveau partage du monde.
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Suite et source.


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