Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 31 décembre 2013 04:52
@Lord  : "Si on devait appliquer ce raisonnement linguistique, on pourrait également le transposer à la critique des religions et à toutes les formes de la pensée philosophique.

La critique du Coran (certaines traductions sont non-conformes à la lettre ou à l’esprit du livre, voire proposent des interprétations fallacieuses ou erronées) doit-être réservée aux arabisants. Il en va de même pour la Torah (Hébreu) et pour la Bible (Araméen et Latin)."

Il faut effectivement appliquer ce raisonnement à toutes les cultures. La connaissance de la langue est un minimum, vraiment le minimum du minimum ! 

Déjà on n’imagine pas un spécialiste de la littérature anglaise qui ne parlerait pas anglais, même s’il s’agit seulement de littérature populaire. Alors s’il s’agit d’écrits religieux très anciens, toujours très difficile à comprendre, il faudrait vraiment être d’un orgueil sans limite pour prétendre en donner le sens quand on est incapable de lire une seule phrase. 

On a aussi le droit de ne pas s’y intéresser, tout simplement. 

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe