Léo de Hurlevan 3 décembre 2013 13:27

Les revues de psychiatrie nous inventent chaque jour de nouvelles pathologies. Le pervers narcissique par exemple a à peine plus de vingt ans. Pourtant, rien à propos du délire de consommation, qui est toujours décrit comme symptôme d’autres troubles. Pourtant je crois qu’il mérite maintenant une place à part. Peut-être que les partisans de l’antipsychiatrie avaient mis dans le mille : "la psychiatrie est une institution non pas médicale, mais plutôt politique et/ou religieuse médicalisée s’attachant à résoudre non pas les problèmes ou les maux des patients qu’elle traite, mais bien les problèmes posés à la collectivité par le comportement de ces mêmes patients" Source Wikipedia


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