QaviQeQuarQo davideduardo 1er décembre 2013 22:43

Soral expliquait tres bien l importance des réseaux dans les prises de pouvoirs, et que cela soit dans les réseaux élitistes au pouvoir d aujourdhui ou d hier : 

vatican, aristocratie, franc macon, jésuites, élites républicaines, affairistes, mondialistes, médiatique, universitaires......
Ou meme que ce soit les contres pouvoirs : réseaux résistants de la seconde guerre, socialistes révolutionnaire d apres guerre.....


Tous sont basés sur des formes hierarchiques, et pour les contres pouvoirs, souvent avec un homme fort a la tete. 
Les autres contre pouvoirs de mouvements éclatés ne marche pas , étouffent dans l oeuf ou sont récupérés.
Dans un mouvement éparse on trouve toujours quelqu un a soudoyer, alors au un leader comme chavez ou degaulle ne se soudoie pas et laisse peu de possibilité : le combattre politiquement ou le faire éliminer quitte a ne pas tuer ses idées et en faire un martyr.


@machiavel

ta critique sur chavez ou degaulle est sur le long terme.
J entend bien cette critique, mais chavez est resté quand meme 14 ans au pouvoir et degaulle , 10 ans, et ils ont surtout réussi a créer une nouvelle ligne a suivre qui porte ses fruits encore des décennies après leur mort.
Non, les grands hommes ne sont pas éternels , mais ils arrivent a impulser des idées que des groupes éparses n auraient pas pu impulser.
Ce concept d homme providentiel dépasse même Étienne chouard avec des petits virus qui n attendent au fond que les impulsions de leur leader,
De même pour les mouvements de gauche qui se veulent plus démocratiques, mais qui paradoxalement n arrivent pas a dépasser l image de leur chef (besancenot pour le NPA ou melanchon pour le fdg)


Sur la France qui serait différente des autres pays

parce que pour accepter un changement politique radical, il faut avoir touché le fond du trou, comme dans les exemples que j ai donné plus haut.
La France est encore loin de toucher le fond, mais tout le monde voit le nuage noir se former au loin.

Cette attente de l homme providentiel n est pas de l idolâtrie lepeniste de ma part,
personne ne peut prédire ce genre de futur, trop de facteurs rentre en jeu dans ce genre de conjoncture, et tout se passe tres vite : cela pourrait etre Marine, NDA, chevenement ou un parfait inconnu ...ou meme le hollandisme révolutionnaire s il se fait dépasser par les événements (mais j y crois moins) 



Pour le consumérisme

C est le probleme de la décroissance qui est soulevé
c est sur que ce n est ni un monarque éclairé, ni un mouvement éparse, ni un système oligarchique qui va réussir a impulser un changement anthropologique si radical en si peu de temps (le temps que les ressources se tarissent)
On ne renie pas des valeurs morales telles que la croissance economique , la croissance démographique, le commerce, le travail, l opulence comme résultante d un dur labeur, (allez et multipliez vous), la propriété.......

A moins de tomber dans un totalitarisme vert, une sorte d ascétisme institutionalisé.

Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe