Cassia est sioniste comme son mentor Alliot. Sa nouvelle rhétorique consiste à défendre le sionisme et Israël en disqualifiant l’antisionisme par l’effet magique d’une inversion accusatoire typique de la propagande sioniste. Elle utilise les mêmes artefacts, les mêmes procédés de diversion, la même dialectique et le même fond hasbarique de la pensée délétère et les mêmes ficelles.

L’immigré incarne le mal absolu à travers la politique migratoire de l’état. S’il faut condamner l’état et ses décisions politiques, y compris migratoires, évitant aussi de nous tromper d’ennemi en désignant le bouc émissaire utile sur qui les agents sionistes font porter le poids du soupçon et la responsabilité des dérives du grand patronat. 

Les amalgames et les raccourcis de Cassia sont non seulement les expressions de la propagande sioniste, mais aussi permettent de soustraire de ce raisonnement court sur pattes ses amis du fion.