Dans le fond on sait bien que cette nouvelle accusation de racisme envers les français (déjà responsables-tous-individuellement de la tragédie du Vél d’Hiv selon Hollande) est la seule soupape du PS pour tenter d’amoindrir la pression devant leur incompétence et leurs trahisons. C’est un peu de la morphine institutionnelle imposée. 

La méthode est simple il suffit de mettre en avant les propos racistes (qui bien que très marginaux existeront toujours) à l’aide des médiacrates vendus. Sur 1000 personnes on en trouvera bien un — même s’il s’agit d’un enfant on prend quand même — et on en fait un pseudo-scandale afin de rabattre le caquet de ces français qui ne comprennent rien à l’ultra-libéralisme hollandais et au soutien de l’Etat français au terrorisme islamiste en Syrie. Bien que dans ce dernier cas ils ne savent plus quoi dire depuis qu’on sait que ces meurtres chimiques d’enfants syriens ont été perpétrés par les rebelles contrairement aux mensonges du pouvoir.

La question qui devrait occuper les esprits devrait donc être : quelles mesures doit-on prendre pour lutter contre le racisme consistant à soutenir ou avoir soutenu les meurtriers d’enfants syriens innocents ?

Question subsidiaire : pourquoi ne parle-t’on plus du racisme qui a consisté à tuer près d’un million d’irakiens sur des prétextes dont il est prouvé qu’ils furent mensongers ? Il s’agit bien de racisme puisque, si les victimes avaient été occidentales, au bout de la deuxième victime c’eut été le branlebas de combat dans la médiacratie bien pensante ?