wendigo wendigo 27 septembre 2013 16:16

@ voter apres la monnaie, vous dites :
.
Qu’une partie de la banquise se déplace, surtout en été, c’est normal, mais la surface rouge est plus grande maintenant que la surface violette. Sans oublier les surfaces jaunes et vertes, plus importante maintenant qu’avant.
Cette carte n’est donc pas une preuve de refroidissement mais de réchauffement.

Ha bon, la banquise se déplace en été ..... c’est la transumance neigeuse ? Si vous voulez cela ne me derange pas.
Sinon je pense m’être mal fait comprendre, donc je reprend, quand la banquise se déplace elle ne fait pas par sauts quantique ou opération du saint esprit, elle fond d’un coté (d’où baisse de densité, d’épaisseur si vous préférez) et se forme d’un autre, c’est à dire part de zero pour prendre du volume ensuite. En phase de transition, cela peut sembler quelle disparait, alors que ce n’est pas le cas. Vous voudriez quelle se déplace sans varier sa densité ? vous imaginez une telle masse se déplacer d’un bloc et d’un coup, cela génèrerait des tsunamis monstres (chose qui est peut être à l’origine du déluge il y a 12 500 ans).
Nous n’avons pas à faire à autre chose qu’un échange de masse et je tiens à vous rappeler que cette année, nous sommes en maximum solaire et que donc ce n’est pas un été de référence en ce qui concerne tant la densité que la superficie de la banquise de mer, le soleil chauffant plus que d’ordinair, pour avoir une meilleur vision, c’est en hiver que l’on doit constater le phénomène et l’hiver dernier, la banquise n’a jamais été aussi pimpante sur les 10 dernières années. Une explication a donner ? Attendez donc de voir ce que le soleil va nous offrir comme climat une fois ce maximum terminé.
Et puisque nous sommes en train de parler banquise, il faut aussi soulever le problème de la population d’ours polaires, qui était de 5 000 en 1949 et qui est aujourd’hui comprise entre 20 et 25 000 individus, ce qui n’empèche pas vos médias de vous la présenter comme une espèce menacée. Rien ne vous choque ? normalement une population de prédateurs est en fonction, du nombre de gibier et de la superficie de son territoire ; donc si cette population du plus grand prédateur terrestre est multipliée par 5, pensez vous vraiment que le sperficie de sa zone de chasse soit en régression ?

Et je conclurais sur ceci, le giec nous dit cette année que la chaleur s’est réfugiée au fond des océans .... ceci ne vous donne pas un problème de thermodynamique de base ? Si on suit ce que prétend le giec, alors les mongolfières seraient des sous-marins et ma grand mère un dervish turner !
.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe