wesson 26 juillet 2013 01:04

Sans déconner, vous me faites sourire : d’une part vous ne savez strictement rien de ce qui s’est passé en Espagne mais supposez que tout a été nickel. 


Et d’autre part, que peut-on comparer entre une catastrophe qui se produit dans une gare en plein milieu d’une agglomération urbaine de forte densité, et entre ce qui se passe quelque part sur une ligne, loin d’un centre urbain.

Et pour finir, de quoi parles-on à Bretigny ? De 3 vols en tout et pour tout, un portable probablement oublié dans la précipitation puis ramassé, et 2 passagers qui auraient subi des vols sans que l’on sache vraiment de quoi il s’agit. Pour le reste, c’est les délires habituels des flics dressés au maintient de l’ordre qui font ce que on leur a appris à faire : déformer les faits, provoquer, se plaindre en toute occasion et porter plainte contre les gens à qui ils ont bourrés la gueule. Au final on a beaucoup de mousse pour très peu de chose, qui tient plus à de l’opportunité en toute occasion. C’est bête mais l’homme est ainsi fait. Vous n’avez qu’à laisser votre iphone sans surveillance pendant 10 minutes dans un endroit passant, et vous aurez la démonstration de ce que "opportunité" veut dire. 

Et pour Meric, une enquête est en cours sur laquelle on a pour l’instant aucune précision. Ce n’est pas les délires du Point - qui est maintenant franchement passé à l’extrême droite - ou du Parisien qui vont y changer quelque chose.

Au final, sur un autre catastrophe ferroviaire, vous vous jetez sur les cadavres encore chaud pour en tirer vos conclusion d’idéologues du racisme. D’où l’extrême droite telle qu’en elle-même.

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