papone papone 8 décembre 2012 17:05

@ ffi
Il est certain que la possession et l’avoir ne mènent pas au bonheur. Le problème, c’est que la société marchande a besoin de tout ramener à la possession et à l’avoir et qu’elle utilise pour cela des techniques d’une finesse redoutable.
Effectivement, la nécessité de la spiritualité revient en force, mais prenons garde qu’elle ne soit pas accaparée par les faux dévots ou bien que la société marchande ne trouve les moyens de la ramener dans son giron.
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@Yoann
La conclusion est un peu ironique. Mais c’est amusant de voir la crise comme une aubaine pour une fois et non comme une catastrophe. Parce que d’une certaine façon, si le capitalisme se casse la gueule avant d’atteindre un stade dans lequel il aurait réussi à contrôler les esprits et les coeurs, on l’aura échappé belle. On aura évité la défait totale qui est celle Winston Smith à la fin de 1984 : « et maintenant il aimait Big Brother ».


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