Latigeur Latigeur 30 novembre 2011 09:40

Hiéro, c’est pas une surveillance c’est l’interdiction générale pour tout journaliste étranger sauf visite guidée style Voyage de Soral ou prestations de Meyssan.


Quand à la presse nationale elle est comme tout le reste étroitement surveillée :

"La presse syrienne n’est pas libre. Elle pourrait éventuellement se caractériser par la corruption, a estimé une enquête de Freedomhouse, une organisation qui enquête sur le degré de liberté de la presse dans chaque pays.

La liberté de la presse a brièvement connu un épanouissement en Syrie, lorsque Bashar al-Assad est devenu président en 2000. Pour la première fois en près de 40 ans, des publications privées étaient autorisées. Parmi les nouveaux titres figuraient des documents de partis politiques et un journal satirique.

La télévision syrienne a commencé à présenter des programmes et débats politiques dans lesquels des questions autrefois taboues sont discutées, telles que le fait de critiquer le gouvernement. La loi de 2001 sur la presse, cependant, a permis au gouvernement de suspendre des publications après une violation des règles régissant le contenu. Les publications sont surveillées par des membres du gouvernement désignés à cet effet.

Les télédiffuseurs FM privés et commerciaux sont autorisés mais ne sont pas supposés transmettre des informations ou des questions politiques.

La Syrie compte environ 1,5 millions d’internautes. Le Web compte cependant un certain véhicule en matière de censure. En effet, Reporters Sans Frontières déclare que “la Syrie est le pire des contrevenants à la liberté d’Internet et censure l’opposition et les sites d’actualités indépendants.”"


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