
Depuis le 7 octobre, date du pogrom du Hamas, les masques tombent. On a pu voir qu’Éric Zemmour est le seul homme politique à être allé tenir un meeting émouvant devant les Français partis vivre en Israël parce que ne se sentant plus en sécurité en France. Chacun a pu constater que Marine Le Pen, longtemps nazifiée, s’est rangée du côté de l’état hébreu. Mais surtout tout le monde a pu voir que Jean-Luc Mélenchon et LFI ont refusé de condamner les actes du Hamas et de qualifier cette organisation de “terroriste”. Ce soutien fait suite à celui, à peine voilé, des émeutes de juin, à celui, net, à l’abaya à l’école. . Tout cela peut paraître surprenant. On nous serine que la droite c’ est mal, c’ est le racisme. La gauche c’ est bien, c’ est la lutte contre les méchants, les antisémites entre autres. Cela n’ est pas si simple. L’ historien Simon Epstein s’ était penché sur ce phénomène, constatant que la résistance au nazisme pouvait être de droite et la collaboration de gauche : https://www.lemonde.fr/televisions-radio/article/2017/12/10/tv-quand-la-gauche-collaborait-1939-1945_5227582_1655027.html . Rien de nouveau sous le soleil.
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