Je ne peux m’empêcher de considérer Gérald BRONNER sous un angle psychopathologique. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond chez cet individu, une souffrance qui transparaît et dont la production "intellectuelle" est manifestement une compensation. Je ne comprends pas que cela ne saute pas aux yeux de tout le monde. Sans doute un biais de ma part. Je ne veux aucun mal à cet homme (il ne m’a causé personnellement aucun tort) mais il est l’exemple caractéristique de l’individu auquel une société en perdition accorde un statut survalorisé et qui se retrouve à devoir ramer pour tenir son rôle d’une manière absurde (un peu comme George W. Bush).