Baston Labaffe Gaston Lagaffe 20 décembre 2017 18:34

Salut Jean
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Ouf, le coq est toujours vivant, c’est rassurant.
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Trêve de sérieux, revenons à nos morpions. J’ai eu le chemin inverse, que je n’avais pas demandé, d’ailleurs, c’est à dire que j’ai été élevé dans la culpabilisation permanente et la menace des pires tourments si je m’aventurais à jouer avec mon zizi, dès l’âge de 8 ans, ma grand-mère très pieuse m’a promis les affres de l’enfer si d’aventure elle me choppait de nouveau en plein délit de m’astiquer le poireau, pas Hercule, l’autre. Bref, le sexe c’est mal, c’est caca, c’est satan.
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Tout ça pour dire que ça ne m’a pas empêché plus tard, malgré une puberté difficile de me vautrer sans remord dans la boue sexuelle qui pervertit le monde et sans ma contribution financière le porno us et Marc Dorcell réunis auraient sans doute fait faillite bien avant internet...
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Pour rien au monde je ne retournerai m’enfermer dans la culpabilité et l’envie de me serrer la discipline à la cuisse à la première masturbation de la journée ou au premier cul qui passe à portée de mes bourses.
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C’est amusant mais nos deux existences ressemblent à celle de l’étrange histoire de Benjamin Butt5on avec Brad Pitt, l’un de nous est à l’envers de la norme, mais ... Question à 2 shekels, lequel ?

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Chacun verra son envers et son endroit de son point de vue, moi j’ai l’impression de m’être libéré, non sans mal, il faut bien le dire d’un dogme aussi stupide que celui de l’islam, ou de judaïsme, pas de jaloux, hein, merci les valeurs maçonniques, alchimiques, occultistes ou que sais je qui m’ont permis de m’épanouir dans la perversion assumée faite de drogues, sexe et rock’n’roll, tandis que toi, Jean, au prénom bien nommé, tu sembles t’être libéré en t’enfermant dans ma prison pour échapper à ce qui me semble à moi, la liberté. Comme quoi, pour un catho perverti au libéralisme libertaire marxiste, il faut qu’il y aie un pervers prisonnier du libéralisme libertaire marxiste qui se convertisse et devienne catho, question d’équilibre j’imagine, quoiqu’il en soit, puisque je n’ai plus la foi, de toute manière, jamais je ne retournerai dans ma prison idéologique qui me fût donnée à ma naissance... J’ai pas eu la chance d’avoir des parents gauchiasses et un vague grand-père au trois quarts juif pour m’épargner la rigueur austère des règles catholiques de la France profonde d’où je viens, j’ai dû m’en extirper tout seul... Chacun voit donc son salut où il l’entend, n’est ce pas smiley

 

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