
Le sens du sacrifice kesako ?
^^
C’est simple, jusqu’où êtes vous prêts, philosophes, pour appliquer vos découverte sintellectuelles ? Jusqu’où êtes vous prêt à verser votre sang pour vos idées que vous balancez en espérant que d’autres que vous les appliquent au prix de leurs vies eux, mais pas les vôtres ? Jusqu’Où êtes vous prêts à sacrifier tout ce que vous aimez pour les idées que vous dlfendez sur le papier, ou sur le parchemin virtuel qui vous permet de tenter de briller comme autant de gourous dont vous voulez la place au soleil à force de concours de bites, concours de masturbation intellectuelle, jusqu’où votre lâcheté envers le réel vous emprisonne t’elle dans vos pensées virtuelles ? Croyez vous que vous êtes si différents des frères la truelle ? Vous n’assumez pas ce que vous êtes, philosophes contemporains, vous n’êtes que des ersatz de philosophes existants mais ayant payé le prix de leurs ouvertures d’esprit, car oui, philosophes du néant, il faut oser côtoyer la folie, croire que l’on meurt chaque jour qui naît, ressentir la souffrance de chaque instant, entendre, si vous êtes doués d’empathie comme vous le clamez, les souffrances de milliards d’anonymes qui pénètrent vos pensées à chaque seconde, comment tu veux être apte, philosophe, comment voulez vous être aptes, ceux qui jugent, comment voulez vous être aptes spectateurs, lecteurs, oubliant d’être acteur de vos vies misérables en regard du point de vue mercantile triomphant, à prétendre comprendre ce monde d’un point de vue qui vous échappe car vous ne l’avez jamais atteint par manque de persévérance et de maturité, comment vous voulez être aptes, philosophes, à vous prétendre éclaireurs alors que vous n’êtes que des retardataires d’une arrière garde perdue dans le brouillard et que vous êtes au mieux que des produits de ceux qui tentent de vous secouer pour vous réveiller ?
^^
Je me rends compte, à quel point votre ignorance est grande, à quel point votre retard est abyssal, à quel point je devrais encore attendre afin de me retrouver dans ce que vous dites, à quel point je suis loin, à quel point j’ai franchi de portes, de barrières, de frontières, pour que je me sente si étranger de vous, si naufragé aussi, si seul, si perdu, parfois, alors que vos erreurs éclairent mon chemin et me disent de ne pas rebrousser mes pas, vos lanternes ne sont plus pour moi des repères dans une nuit sans but, mais des traces laissées en arrière parce que j’ai ressenti tellement de déceptions qu’elles ne sont plus pour moi, que des stigmates cicatrisées, des marques fausses, des mensonges menant à des voies sans issue, qu’elles me donnent l’impression d’être un Bernard Hinaut échappé d’un pelloton de veaux, auquel j’aurai aimé faire confiance, mais que décemment, au nom de l’intelligence et de l’espoir que je fonde dans l’humain, je ne puis plus confier ne serait ce que le poil de cul d’une de mes jument. Méditez là dessus, messieurs les philosophes à la Chuck Norris qui me fatiguez, mais à un point, si vous saviez.....
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe