AHMED_AMINE AHMED_AMINE 23 juillet 2015 01:20

Suite : la découverte du Parchemins de Brimingham mérite une attention particulière car si elle se confirme par les spécialiste, elle va sérieusement mettre à mal la Thèse du Père Gallez et toute la critique radicale.

L’université de Birmingham annonce avoir pu dater le manuscrit de Qur’ân qu’ils détiennent. Les résultats montrent qu’il s’agit d’un des premiers manuscrits du Qur’ân de l’histoire, et qu’il a été écrit peu après la mort du Prophète (’alayhi salât wa salâm). La datation au carbone indique une période comprise entre 568 et 645. Dans cette vidéo ainsi quand dans l’article ci-dessous, les chercheurs qui se sont penchés sur ce manuscrit disent que celui-ci confirme ce que croient les musulmans, à savoir que, si on se base sur les extraits dont on dispose, le Qur’ân d’aujourd’hui est le même que celui d’hier.

« University of Birmingham Qur’an manuscript among world’s oldest » (22 juillet 2015) :

https://www.youtube.com/watch?v=C-HDFiC2boQ

Deux pages de parchemin se sont cachées pendant des siècles dans un vieux Coran de la bibliothèque universitaire de Birmingham. Deux feuillets, sur lesquels courent, parfaitement lisibles, les sourates 18 et 20 du livre sacré. Ecrites en rouge et en vert, dans une calligraphie typique de la région du Hedjaz, où se situent La Mecque et Médine, ces deux pages complètent un Qur’ân fait de divers parchemins, de feuilles de palmier et même d’omoplates de chameau.

Les tests au carbone 14 effectués par des chercheurs d’Oxford révèlent, avec 95 % de probabilité, que ces fragments de Qur’ân ont été écrits entre 568 et 645 après Jésus-Christ, l’époque pendant laquelle le prophète Muhammad prêchait la bonne parole.

Le scripte l’a-t-il entendu de ses propres oreilles ? Le connaissait-il personnellement ?

Les chercheurs et les religieux sont émerveillés car si le scripte était un témoin de première main, alors ces parchemins seraient la preuve que le texte coranique n’a pas subi d’altération depuis que le Prophète l’a révélé (aussi bien dans les sourates que les versets et les lettres, seuls les signes diacritiques pour faciliter la prononciation pour les non-arabophones furent adoptés par la suite). Ce trésor fait partie de la collection Mindana, du nom de ce prêtre chaldéen vivant à Mossoul, en Irak au tournant du XXe siècle, et qui aurait ramené en Angleterre dans les années 20 plus de 3 000 documents en provenance du Moyen-Orient.

http://www.rfi.fr/…/20150722-royaume-uni-coran-birmingham-…/

(« Royaume-Uni : de très anciens fragments du Coran retrouvés à Birmingham » 22 juillet 2015).

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