
mon expérience de la vie dit qu’il n’y a aucun hasard dans la vie, de son origine jusque dans ses moindres aspects.
Prenons l’exemple du loto, tout le jeu est déterministe, dans ses moindres détails, même les lois physiques pour la machine faisant sortir les boules avec les numéros gagnant. Le seul hasard est l’impossibilité de connaitre la dynamique du système faisant sortir les numéros car comme dit plus haut, cela exigerait une précision infini où seule l’intuition, la magie ou la tricherie peuvent prétendre s’affranchir des limites imposé par la dynamique du système.
Wittgenstein disait que quand on ne parvient pas à résoudre un problème, il faut le poser d’une autre façon.
Une autre façon consiste à ne pas considérer le néant comme l’absence d’être, mais la négation de sens d’être.
Autrement dit, partant du postulat suivant lequel l’être ou plutôt l’existant ne peut être nié, soit le néant est un concept non pas abstrait mais aberrant, soit il exprime la négation de sens de la vie. Conséquence, soit je supprimer un mot qui ne représente qu’un cul de sac conceptuel, interdisant la résolution du problème qu’il pose par son aberration propre, soit je définit ce mot d’une autre façon pour lui redonner une validité conceptuelle et sortir de l’impasse dans laquelle il me maintien.
J’ai opté pour la seconde solution, donc que le néant est la négation du sens de l’existant, ou la négation que la vie ait un sens et effectivement, au bout du bout, la vie a t-elle un sens ?
La réponses est non, dans l’absolu, la vie n’a pas de sens, tout finit par se rejoindre, se confondre. La vie ne prend sens que dans le principe de relation (conséquentielle)
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