Ce n’est pas un discours, c’est un cri de révolte d’une femme qui ne peut pas accepter le départ de son mari, de son frère ou de son fils, en plein hiver sur des mensonges et pour des intérêts qui ne sont pas du tout ceux des Ukrainiens.

 Ces cris de révolte disent la vérité, ils prennent aux tripes et sont ceux de la majorité silencieuse des Ukrainiens.
 Ils sont ceux d’un peuple qui vit une tragédie que des cinglés vendus, soutenus par des fous furieux ont déclenché chez eux pour des motifs débiles. La misère est là, dans le froid et les morts ne reviendront pas.
 Angela, François et John K. feraient bien de les entendre. Le retour de bâton va être à la hauteur des atrocités qu’ils ont induits et laissé faire dans ce Pays qui n’aspirait qu’à la paix.