Un des procédés utilisé en alchimie et d’utilisé un codage où il y a sur un rythme bien définie d’une phrase qu’un seul mot sur deux où trois où plus est utilisé pour l’intelligence de la phrase et du texte, visiblement dans ce manuscrit,il y a des lettres fantaisistes qui sont rajouter d’où l’on pourrait se dire qu’il y a qu’une seul partie du graphisme de la lettre a retenir et que le reste est juste un maquillage habile pour détourné du chiffrement classique de leurs époques, en même temps si se texte et un véritable écrit et non une imposture , la clé du chiffrement est contenue dans le livre et qui doit répondre à une méthodologie de lecture interprétative.

A mon sens, les illustrations sont la clé de l’énigme du cryptage, et il y a trop d’indice dans les différentes illustrations qui révèle que c’est une vue grossissante de sujet botanique qui illustre le texte montre que c’est à la fois une somme d’une connaissance précise et à la fois une compilation de plusieurs ouvrages réunie en un volume déroutant par son écriture et ses illustrations qui au lieux d’être détruit par l’inquisition, c’est auto protéger en étant indéchiffrable et énigmatique !

L’autre aspect et que l’on tente d’appliquer une grille de lecture avec des références universels, à lors que l’on sait dans l’antiquité la base de série de nombres pouvait très bien être sur 7, 12, 15, où d’autre se rapportant à l’observation des rythmes stellaires et qui peut être tous aussi bien utilisé dans cette écriture qui est visiblement n’est pas grammaticale, elle est symbolique et c’est comme si l’on avait devant soit un zodiaque de lettre dont leurs positions éclaires le sens interprétative de son intelligence énigmatique  !

En soit c’est peut être une bonne chose que ce texte reste indéchirable, il devait probablement avoir une raison sérieuse pour cela !

On ne réalise pas que certain type de connaissance sont en soit très dangereuse pour les hommes qui ne sont pas mûrs pour les entendre !