Ne bridons pas la créativité de ce "saltimbanque" qui mérite assurément d’être connu...
Il mérite de finir sur la scène de l’Olympia ; deux boîtes de cassoulet, des canettes de Coca, des micros disposés à proximité des orifices digestifs, et le voila parti pour un concert de deux heures avec son instrument à vents...
Pour le rappel, s’il reste des rescapés, il livrera une tonitruante reconstitution sonore d’Hiroshima...
Un "esprit" aussi bien ventilé ne manque pas d’air, et puis dans cette catégorie "d’artistes" Bruel se sentira moins seul...