Latigeur Latigeur 10 octobre 2013 17:11
Exemple tiré du très officiel rapport sur les défis de l’intégration à l’école :

"Ainsi, il n’est plus rare que, dès l’école primaire, des parties du programme soient refusées :
alors que le programme d’histoire en CM1 prévoit expressément « les Gaulois, la
romanisation de la Gaule et la christianisation du monde gallo-romain », au même titre que
l’étude « des conflits et échanges en méditerranée au Moyen Âge : les Croisades, la
découverte d’une autre civilisation, l’islam », des enseignants se voient systématiquement
opposés un refus de parents musulmans à l’étude, par leurs enfants, de la christianisation. Les
mouvements migratoires, conséquences des Croisades sont remis en cause au prétexte que les
Chevaliers n’ont pas existé ou que dans le meilleur des cas, ils n’ont jamais atteint le Proche-
Orient ! Qui imaginerait que l’éducation musicale soit contestée ? Pourtant, des enfants
refusent de chanter dans une chorale ou de jouer de la flûte à bec au prétexte d’une
interdiction religieuse.
Ainsi, la pression religieuse s’invite au sein des cours et dans la contestation ou l’évitement de
certains contenus d’enseignement. Ainsi, les cours de gymnastique et de piscine sont-ils évités
par des jeunes filles qui ne peuvent être en mixité avec les garçons. Ces dispenses
d’enseignement, parfois justifiées par des dérogations médicales "de complaisance", pose le
problème du vivre ensemble entre filles et garçons. Il arrive que des enseignants, désemparés
devant le peu d’élèves à la piscine lors du ramadan, cherchent auprès de l’imam le plus proche
la justification religieuse à pouvoir suivre les cours dispensés. Par une volonté de bien faire,
ces enseignants contreviennent alors au principe de laïcité et inscrivent de fait la religion
comme ayant force de loi."


page 91 mais si vous voulez vous instruire, il y en a des dizaines comme ça

De la part des recalés du collège.......
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