On comprends mieux l’allégeance surréaliste et coincée de Dieudonné aux théocrates iraniens.
Un bon point pour Soral, il lâche une vérité que n’ont jamais accepté de reconnaître les communistes au temps de leur splendeur, le financement par l’étranger, dur dur pour un mec qui se dit tellement attaché à la nation française !
C’est que, merdre ! comme dirait Ubu, il a connu ça, il a aussi été communiste dans le temps, non ?