J’ai lu dans une de nos pravdas - ici - que le tueur de Benny se plaignait de ne pas avoir de sécurité sociale après sa démission de l’armée. Et c’est là qu’on voit la finesse de la propagande : le système sacrifie un peu (on est des salauds qui laissons tomber nos héros) pour valider un peu mieux ce storytelling grotesque.