
Perte de temps totale, sauf pour mesurer la crétinerie des pro -"VO".
Si c’était un avion qui s’était écrasé contre cette façade du Pentagone, ce n’est pas un, mais, trois trous que l’on y verrait. Sous cette incidence le réacteur gauche aurait sans doute rebondi. Les poteaux, choqués à cette vitesse seraient pliés ou même été coupés en deux et non pas seulement renversés.
La supercherie du Pentagône a été le déclencheur de la première alerte, lancée par Thierry Meyssan. Depuis elle a été très bien documentée par des témoignages dignes de foi : Secrétaire avec son bébé, très proche, dans une des pièces à côté, qui doit son salut à la sortie précipitée par le trou fait dans le mur. Pompistes qui décrivent une trajectoire tout autre, de l’avion supposé s’être écrasé. L’absence des vidéos de surveillance qui apporteraient la preuve fait aussi très mauvais effet. Les dires de T.Meyssan ont toujours, à ce jour, autant de pertinence.
Mais les preuves principales viennent de l’analyse de la chute des trois tours, du nuage pyroclastique, de l’absence de béton accumulé à la base des deux premières et de la présence de micro-billes de fer et de thermite mélangés à celui-ci, réduit en poussière.
Nine eleven is an inside job.
Que les ingénieurs du NIST ou que Quirant, soi-disant physicien, aient pu soutenir avec autant d’assurance des thèses aussi grossièrement fausses, est totalement malhonnête.
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