
Oui, merci à Véronique Genest.
Beaucoup de français, comme elle le dit, sont islamophobes, mais très peu, jusqu’à ce jour, parmi les personnalités ayant accès aux "grands" médias dénoncent cette imposture, cette ignominie diffusée, répétée, confortée, prenant toute la place dans ces médias depuis des années : "l’islamophobie est un racisme ou/et une xénophobie".
Rappel :
""Parce que je me suis moi-même indigné contre cette écoeurante entreprise, je veux ici vous répéter dans quels termes j’ai exprimé cette indignation, en octobre 2008, dans le numéro 59 de la revue Riposte Laïque éditée sur Internet :
""Je suis sereinement islamophobe. J’ai la phobie, la crainte de l’islam, et cela entraîne chez moi de l’aversion pour cette religion tout simplement parce qu’elle me menace et nous menace tous, parce qu’elle méprise les femmes et les empêche de vivre, parce qu’elle empêche des peuples entiers d’accéder aux libertés démocratiques, parce qu’elle cultive et pratique la violence dans les pays où elle domine et, maintenant, dans le monde entier, parce qu’elle empêche de vivre en paix dans la diversité et la solidarité, parce qu’elle donne une image épouvantable de la religion, laquelle n’est nullement, pour moi, une ennemie.
Mon islamophobie n’entraîne chez moi nulle petite trace de racisme. Je respecte a priori les Arabes, les Turcs, les Pakistanais, les Indiens, les Indonésiens, les Africains et tous les peuples chez lesquels l’islam est très implanté, exactement comme je respecte a priori, ni plus ni moins, les Français, les Anglais, les Belges, les Hollandais, les Espagnols, les Italiens… chez lesquels l’islam est moins présent.
La démarche qui veut faire de l’islamophobie un racisme doit être dénoncée pour ce qu’elle est, une flagrante malhonnêteté.
Même quand c’est la démarche de "dignitaires" – en réalité fort peu dignes – qui siègent dans une commission dite "des droits de l’homme" à l’ONU, droits de l’homme dont ils sont en train d’inverser, tout simplement, la définition, ce qui devrait révolter et mobiliser les États démocratiques dignes de ce nom.
Cette dernière précision visait la démarche persistante de la dite "Commission des droits de l’homme" pour faire interdire, non pas la transmission et la justification des appels à la violence religieuse mais la critique de ces appels, ainsi que toute autre critique des religions.
Comme je l’ai fait auparavant durant de longues années, et comme je continue de le faire, j’affirme que c’est au contraire l’enseignement et la justification des violences prétendument voulues par Dieu qui doivent être très fermement rejetés par les croyants pacifiques de toutes les religions, dont ceux qui sont musulmans, comme par tous les authentiques défenseurs agnostiques ou athées des droits humains.""
texte complet ici :
http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/lettre-ouverte-a-l-ambassadeur-des-82314
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