C’étaient quoi déjà les surnoms de Robespierre et Saint Just, de leur vivant ? Les "incorruptibles" ?
Ah ok. Mais bien sûr, c’est très pertinent de faire appel à leur nom comme repoussoir comme si tout ce qu’avaient dit et fait ces deux là n’étaient que la terreur, et que si la terreur était de leur seule responsabilité.
Au fait, ils ont finis comment, ces deux là ? Guillotinnés par la terreur. On n’entend pas trop Onfray condamner les bénéficiaires de cette partie là de la terreur.