Problème :
- il y a 40 ans, il n’y avait pas de "millions de Musulmans".
- 40 ans après y’a des "millions de Musulmans" et ces "millions de Musulmans" font semblant de trouver ça normal...

("pousse-toi, on va se serrer. Z’y va !! Ouvre ta porte !! Fais pas le crevard !! Oui ben c’est plus chez toi ; c’est chez nous maintenant. Dis donc, c’est sympa chez toi... je peux changer la tapisserie ? Qui c’est qui a mis du jambon dans le frigo. Va falloir me foutre ça à la poubelle. Ouais ben c’est terminé. C’est chez moi maintenant. Tu la mets en veilleuse sinon je te fous dehors. Ti un raciss’ ".)

Y’a pas de doute : la chutzpah est bien sémitique.
Que ce soit des Juifs ou des Musulmans, y’en n’a pas un pour rattraper l’autre. Tous les prétextes sont bons pour envahir un "appartement occupé" (la France), s’y installer en masse tranquilou.
Le pire dans cette histoire est que les Musulmans sont constamment en train de pleurnicher sur la spoliation et l’invasion de la Palestine par les euro-Juifs post-shoah. Et quand on leur raconte que les Musulmans font en France ce que les Juifs on fait en Palestine, là d’un coup, la chutzpah du désert brille de mille feu.

Cette histoire d’immigration ultra-méga-massive commence sérieusement à ressembler au film "Viens chez moi, j’habite chez une copine" avec Michel Blanc dans le rôle de la vague nord-africaine.

Puisqu’on nous prend pour des cons, je crois que la meilleure solution serait de racompagner la Torah et le Coran à la porte. Merci d’être passé, c’était sympa. Au revoir. Non non c’est terminé, on va se coucher. Bien le bonjour chez vous.
Adieux !

On a un proverbe bien de chez nous que je vous livre avant que nous disparaissions :
"Chacun chez soi, et Dieu pour tous".