
Les adeptes de la fiction de la théorie officielle le sont-ils devenus par leur incapacité à distinguer les faits des hypothèses / interprétations ?
Ou alors est-ce leurs croyances qui les poussent à amalgamer les deux, réussissant ainsi à forger leur propre pseudo-réalité ?
Le fait qu’ils martèlent que d’un côté il y a les complotistes, et de l’autre les faits, me fait pencher pour la seconde option : sans l’amalgame qu’ils font entre faits et hypothèses, leur croyance s’écroulerait.
Exemples :
- la responsabilité de Ben Laden et des Talibans est une hypothèse, pas un fait
- la causalité entre l’écroulement du WTC1 et les incendies du WTC7 est une hypothèse, pas un fait
- l’incurie prodigieuse des responsables opérationnels de l’époque est une hypothèse, pas un fait (d’ailleurs les sanctions ont semble-t’il été inexistantes).
Il est amusant de constater que l’« incurie prodigieuse » considérée comme une évidence par la plupart des tenants de la VO (voir un exemple ici), contient le qualificatif « prodigieux » dont les synonymes sont :
- incroyable / extraordinaire / fantastique / magique / miraculeux / inconcevable / féerique / surnaturel / mirifique.
Et ils veulent nous faire avaler que c’est tellement évident qu’il n’y a pas lieu de se pencher sur des explications alternatives ! 

La théorie officielle fonctionne sur des mécanismes religieux. Ils croient en un prodige : l’incompétence supposée des services de sécurité américains. Et ils s’offusquent que des mécréants comme nous n’adhèrent pas à leur croyance. 

C’est d’autant plus drôle qu’ils affichent régulièrement de lénifiantes prétentions à l’objectivité scientifique. Peut-être pour tenter de mieux convaincre de leurs explications "prodigieuses" ? 

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