C’est tout l’art des médias de nos jours :
Faire appel à un texte flatteur, de l’émotion via des qualificatifs
Insérer un commentaire de l’opposition, pris en sandwitch SNCF(comme une tranche de jambon d’1mm d’ép.), pour faire honnête
Laisser de côté tout commentaire de fond
Le traitement amusant, par un emballage "24h00 chrono", reste un second degré très positif (assimilation à une série populaire, avec du rythme, des héros, etc.). C’est un filigrame où l’humour faussement critique sert de faire-valoir...
Sur le plan purement technique, on a tous les ingrédients de la propagande.
Bien sûr, ce n’est pas de la propagande des années 40... Mais on peut quand même immaginer que les journaliste sont aussi des collaborateurs d’une entreprise, avec ses groupes de pression, où les relations presse ont leur entrée, où chacun à peur pour sa place...