christophe nicolas christophe nicolas 19 mars 10:34

Le propulseur à méthane restera un lanceur de satellites et sera donc un cuisant échec par rapport aux perspectives annoncées, comme Galileo, fallait pas tricher au Cern en 2012 et confirmer la tricherie en 2015 au Fermilab. Ça prend un peu de temps mais les impacts sont déjà là.

Galileo, une constellation très complexe et très chère à mettre en place, bien au-delà des prévisions, avec 12 milliards d’euros de budget selon les industriels… le double de ce que prévoyait la Commission européenne ! 

https://www.numerama.com/sciences/1751712-au-dessus-des-starlink-lautre-guerre-des-satellites.html

Même les missiles hypersoniques nécessitent des découvertes chanceuses dans les paradigmes actuels ce qui fait que les plus souples d’esprit y arrivent et pas ceux qui jouent au tauliers de la science en la cadenassant, se faisant admirer dans la complication sans grand intérêt sauf pour vous donner un sentiment d’impuissance comme dans le reportage ci-dessus.

Evidemment, ils font de la pub pour gérer leurs échecs et pour faire croire à des succès, ils serrent les boulons et nous assistons à une dérive tyrannique qui enfume pour transformer des échecs en succès comme pour leur vaccin ARNm. Au bout de la route, c’est la décrépitude et la guerre puisque la seule façon d’imposer des mensonges ruineux devient la recherche d’un monopole des élites où ils se paluchent entre initiés hypocrites, signe d’une corruption avancée.


Ajouter une réaction

Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe