
@Gollum "Pas compris votre exemple. Il n’y a pas de sacrifice sanglant dans votre exemple !"
Les exemples abondent, je ne vais pas tout détailler ici.
En utiliser de la graisse humaine ou de kangourou pour un rituel magique ?
"C’est en mangeant de la chair humaine, nous dit M. Eyre, un des hommes qui ont le mieux étudié les aborigènes de l’Australie, que les devins établissent leur néfaste influence."
"Les habitants des îles Fidji possédaient des fours spécialement destinés à cuire la viande humaine. Une coutume respectée voulait que cette viande ne fût mangée qu’avec des fourchettes religieusement conservées dans les familles et qui ne servaient qu’à cet usage. Les Australiens mangent leurs femmes quand elles commencent à vieillir. Ils donnent comme raison que ce serait dommage de perdre une si bonne nourriture. La victime désignée est suspendue par les pieds au-dessus d’un feu de bois vert ; quand elle est à moitié asphyxiée, elle est étranglée, dépecée aussitôt et mangée avec gloutonnerie. Un jeune Fuégien, racontant la mort de sa grand’mère, imitait en riant les contorsions de sa cruelle agonie. Il ne pouvait comprendre la répulsion qu’inspirait son récit. « Je dis cependant la vérité, » ajoutait-il naïvement."
"Le premier sujet de discussion est la guerre. Les habitants ne cessent de se battre, jour et nuit, mois après mois. S’ils se battent si fréquemment c’est pour assouvir leur goût très vif pour la chair humaine.
Les femmes portent des paniers enfilés sur des bâtons pour aller chercher les morts. Quand un homme de leur camp est tué (…) elles se battent à qui l’aura, et le découpent en morceaux avec un couteau. Alors elles placent les morceaux dans leur panier poussant des cris d’allégresse parce que leur convoitise est satisfaite."
"Alors ils allument leurs feux de terre et les recouvrent et quand les corps sont cuits ils s’assemblent pour les manger. Les hommes prennent chacun un bras et le consacrent en le plaçant sur la tombe de leurs parents décédés. Ces bras sont alors mangés par les prêtres. Si c’est un chef qui a été tué, ils partagent son corps en autant de parts qu’il y a d’hommes, de femmes et d’enfants. Chacun reste chez soi et mange et ils réchauffent les excédents dans les fours.
"Les rites anthropophagiques mortuaires de la tribu, qui conduisaient les femmes et les enfants à consommer le cerveau des défunts et le système nerveux central. "
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe