Étirév 25 octobre 2024 07:52

La « chute » du communisme, a été voulue par les clans mondialistes.
Yann Moncomble (1953-1990), dans son ouvage « La Trilatérale et les secrets du mondialisme » nous faisait remarquer « les étranges alliances entre le C.F.R. (c’est-à-dire le « Council on Foreign Relations ou Institut américain pour les Affaires Internationales, véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis), la « Commission Trilatérale » (fondée en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinsky) et les dirigeants du Kremlin... mais, ajoute-t-il, le public doit ignorer cet état de fait. Il faut qu’il continue de croire à l’opposition farouche Communisme-Capitalisme. ».
À la fin des années 90, l’ex-président et co-fondateur de la « Trilatérale », Zbigniew Brzezinsky, déclarait à la revue Encounter : « un moment arrivera où il sera possible d’exercer une surveillance sur chacun des citoyens du monde entier » (Proximo Milenio, n°42, décembre 1996, pp. 56-60).
Né à Varsovie en 1928 (mort en 2017) et diplômé de Harvard, Zbigniew Brzezinsky devint bien vite une créature de David Rockefeller. Théoricien et architecte de la « Commission Trilatérale », il fut aussi l’un des artisans principaux de la révolution informatique et l’« instructeur » du personnage Jimmy Carter dont, après son élection à la présidence des USA, il fut un proche conseiller. Membre des plus fameux cercles mondialistes, il était présent au Bilderberg, au CFR, à l’Institut Atlantique, à l’Institut International d’Etudes Stratégiques, à l’Institut Aspen, aux Conférences permanentes bilatérales russo-américaines de Darmouth, et à l’Institut des Affaires Internationales italien comme personnage de confiance des potentats d’Outre-Atlantique. Il agissait en étroite liaison avec son coreligionnaire Henry Kissinger à l’intérieur d’un cercle exclusif de la Georgetown University, l’un des grands Think-Tank de l’Establishment, le groupe de pouvoir américain.
Le groupe de Darmouth naquit pratiquement en même temps que la Pugwash (1960), association réservée aux cercles scientifiques qui, tous les deux ans, réunissait, à portes closes, l’élite de Wall Street et des Instituts de Recherche Soviétiques. La Pugwash fut créée à l’initiative du milliardaire canadien Cyrus Eaton à Pugwash (Nouvelle-Ecosse). Eaton était prix Lénine pour la paix et proche parent de Herman Joseph Eaton, ex-président du B’nai B’rith. On y retrouvera entre autres Albert Einstein, « membre fondateur de la Société des amis de la Russie bolchévique » et Georgij Arkadevic Arbatov, ancien conseiller de Gorbatchev, lié aux Rockefeller. Robert Charroux, dans son livre « L’énigme des Andes », au paragraphe intitulé « La conjuration de Pugwash », rappelle que « Le plus coupable des criminels de guerre fut sans doute Albert Einstein qui convainquit les présidents des USA Roosevelt et Truman de faire usage de la puissance nucléaire contre le Japon et, au besoin, contre l’Allemagne. ».
Quant au groupe de Darmouth, il avait comme but la recherche des moyens de convergence dans le domaine politique, diplomatique, économique et universitaire entre Américains et Soviétiques ; à partir de 1964 les Conférences étaient sponsorisées par le Groupe Rockefeller.
Le groupe a perdu de l’importance après la « chute » du communisme.
Précisons au sujet d’Harry Truman, cet ancien vice-président devenu président des USA après le décès de Franklin Roosevelt en avril 1945, qu’il est celui qui ordonna la pulvérisation d’Hiroshima par une bombe à l’uranium le 6 août 1945, et qui, exultant à l’annonce du résultat, s’exclama : « This is the greatest thing in history ! ». Ce « psychopathe » récidiva trois jours plus tard sur Nagasaki, avec une bombe au plutonium « pour comparer ». Harry Truman était une sorte de « docteur Frankenstein » qui, après avoir déclenché la terreur nucléaire, enfanta la monstrueuse CIA ; pour « info », c’est aussi le « zélote »… disons plutôt zélé président américain qui soutint et reconnut l’État d’Israël à peine dix minutes après sa proclamation, le 15 mai 1948.
NB : À propos du B’nai B’rith (association fraternelle juive fondée en 1843), qui signifie, en langue hébreu, « les fils de l’Alliance », le journal français « Tribune Juive » du 23 décembre 1985, précise que le B’nai B’rith « est en outre représenté au sein de la plus grande partie des organisations internationales comme l’ONU, l’UNESCO (le Conseil de l’Europe, avec fonctions consultatives), en tant qu’organisation non gouvernementale et elle a même ses entrées au Vatican. Son influence pousse les candidats à la présidence des États-Unis à se présenter devant lui (le B’nai B’rith) avant chaque élection. ». René Guénon, lui, écrit (Etudes sur la Franc-maçonnerie et le Compagnonnage) que le B’nai B’rith « n’a rien de maçonnique, contrairement à l’opinion répandue dans certains milieux ; peut-être faudrait-il seulement ajouter qu’il vise quelque peu à imiter la Maçonnerie (l’emploi du mot « Loges », notamment, en est un indice), comme toutes les organisations « fraternelles » d’origine américaine. ».
Rappelons que le nom « British » qui est composé de « berith » ou « b’rith », alliance, et « ish », homme ou peuple, signifie « le peuple de l’Alliance ». Aussi, le terme « British-Israël » était une croyance répandue du temps d’Élisabeth 1ère d’Angleterre, que les Anglo-Saxons seraient les descendants des dix « tribus perdues » d’Israël, donc les véritables israélites (supercherie déjà tentée au Ier siècle de notre ère).
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