
Norman,
Je ne pourrai évidemment pas non plus oublier cette opération de grande criminalité que nous avons connue.
Surtout, j’ai découvert avec quelle facilité la médecine pouvait être aveuglée. La réponse médicale à une maladie est le médicament (désolé pour le truisme) : il permet de voir s’il agit sur le patient MALADE et de l’arrêter si ce n’est pas le cas.
Un vaccin sur une personne SAINE contredit le principe sans lequel il n’y a pas de médecine : primum non nocere. Un vaccin n’est PAS un acte médical, c’est un acte d’intention sanitaire (normalement). Un vaccin n’est PAS un médicament, c’est d’ailleurs renseigné juridiquement. Un vaccin est bien plus compliqué d’usage : le patient et son médecin ne peuvent pas vérifier si c’est le vaccin qui l’empêche d’avoir le tétanos ou si c’est simplement son confort de vie qui lui permet l’hygiène lui évitant une maladie qui est rare. Et on peut arrêter un traitement médicamenteux si on en voit les effets toxiques, un produit injecté ne peut pas être retiré.
Durant l’année 2020, pendant qu’on interdisait aux médecins de vérifier des médicaments d’intérêts (l’ivermectine, l’HCQ, la nigelle sativa, les antibos, la quercétine, le budésonide, le povidone, le curcuma, etc, etc, etc…) on attendait le vaccin qui empêchait d’attraper le covid. Un an après d’opération de bonneteau mental, avec Mc kinsey, c’est devenu des injections à doses répétitives qui n’empêchent ni d’être contaminé ni d’être contaminant. C’est un plan marketing plusieurs fois lucratif : étendu aux personnes saines et répétitif. Et le refus de soin toujours imposé aux infectés du covid, s’il en reste. Avec les applaudissements de toutes les institutions pseudo-médicales et pseudo-sanitaires. Et la rage des idiots utiles aveuglés lancée pour soutenir cette grande criminalité. L’intention étant, bien sûr, de remplacer les médicaments par des vaccins aux effets bien moins vérifiables pour les maladies. J’ajoute que si c’est le malade qui va vers le médoc (il a besoin de guérir), c’est le vaccin qui vient vers vous (c’est obligatoire).
Je remarque aussi que, outre votre style littéraire qui chevauche sans effort tous les intervenants du site, vos messages ont pris du poids en explications et arguments. Y compris sous cet article. Il ne reste que des insulteurs médisants s’écrasant contre vos messages comme de gros cafards contre plinthe sur un grand coup de balai, et des chicaneurs essayant de vous emporter dans des salles obscures pour vous sortir de la pièce où se déroule le crime.
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