Covid-19 - Le cluster de l’Adria Tour se confirme : Djokovic testé positif au Covid-19
Le verdict est tombé et le "pire scénario" possible, comme l’évoquait son frère Djordje, s’est donc matérialisé pour Novak Djokovic. Le numéro 1 mondial a confirmé mardi avoir été testé positif au Covid-19 à son retour à Belgrade, tout comme sa femme Jelena. Ses enfants se sont, eux, révélés négatifs. A l’origine de l’Adria Tour, le Serbe est le quatrième cas confirmé parmi les joueurs après Grigor Dimitrov, Borna Coric et Viktor Troicki. Il ne présente, pour le moment, aucun symptôme, s’est mis en quatorzaine chez lui et sera à nouveau dépisté dans cinq jours, a-t-il précisé dans un communiqué.
Covid-19 - Tournoi de tennis : des joueurs testés positifs lors de l'Adria tour
FRANCE 24
Au lendemain de Grigor Dimitrov, c'est Borna Coric qui a annoncé ce lundi 22 juin avoir été testé positif au coronavirus après avoir participé à l'Adria Tour, une fête du tennis organisée par Novak Djokovic dans les Balkans sans mesures sanitaires et alors que se profile la reprise du circuit ATP. Benoit Perrochais nous en dit plus.
4 réactions
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Mao-Tsé-Toung
23 juin 2020 23:43
tobor 23 juin 19:05Avec des tests pas sûrs il y a plein de surprises en perspective !
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Témoignage de mon toubib* sur la question du nombre de contaminés* réels !
Pour lui avec les asymptomatiques ça pourrait aller jusqu’à 90 % de la population : il m’a précisé qu’on le verra plus tard lors de bilans sanguins "qui seront alors payants" a-t-il ajouté !Voir mon autre article du jour
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tobor
24 juin 2020 00:56
J’en arrive à croire ou a comprendre que la médecine allopathique joue d’énormément de mystification. Les études universitaires visent l’incompréhension des phénomènes au profit d’une confiance totale en les gros labos qui proposent forcément un produit "indiqué" contre tels symptômes. À moins d’avoir fait ses propres recherches ou tout simplement d’écouter sa propre humanité, ils/elles ne sont pas supposés y comprendre quoi que ce soit à la santé !
Toute cette histoire de dépistage, de tests non-fiables, de diagnostiques sanguins qui demanderaient plus de recherches pour être sûrs, ils ne peuvent pas trouver ce virus avec certitude sur base de prélèvements sur des patients atteints et qui doivent se masquer pour protéger leur environnement ?!
Et ces anticorps spécifiques ? N’a-t-on pas juste chacun/e un seul même et unique type d’anticorps, propre à chacun/e, qui fait ce qu’il peut quand il y a à faire et qui gagne à être fort et vif ?!
Comment arrivent-ils à distinguer un anticorps anti-covid-19 d’un anti-SARS, d’un anticorps H1N1 de celui contre la rougeole ? Ils ne savent pas isoler le virus mais ils identifient au microscope en décodant de l’ADN ceux qui ont reçu le message de détruire ce virus (? !) (Ne peuvent ils pas en profiter pour faire la liste de tout ce qu’on a comme anticorps spécifiques prêts au combat contre quelle maladie ? Ce serait intéressant pour chacun/e de savoir !!!)
Je pense plutôt qu’ils mettent du sérum en présence de virus et voient ce qui se passe dans la boite-de-petri (d’où la durée de ce test). S’ils ne trouvent plus le virus ils considèrent qu’on a le bon anticorps spécifique et hop !. Tout le reste est de l’extrapolation théorique et de la modélisation de ce que la médecine aimerait bien que ce soit. Mais en réalité, derrière des airs paternalistes et péremptoires ou avec l’aveu que la médecine n’est pas une science exacte, ils sont avec les bottes en caoutchouc dans la mouise !-
Mao-Tsé-Toung
24 juin 2020 06:25
@tobor
Merci pour votre commentaire :On en arrive là quand on dégénère dans un monde où le POGNON est ROI, alors qu’hypocritement on prétend le contraire :
le Sacré est abandonné pour les foutaises habituelles "droit-de-l’hommistes" qui comblent l’"imbécile" comme nous le dit le cardiologue Bitar dans mon article...
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