Johnny Hallyday va bien, c’est cool non ?
Johnny, notre idole des jeunes nationale, a tenu à déclarer hier soir, mardi, juste avant son concert au Zénith de Toulouse, qu’il était en forme. "Il y a toujours eu des rumeurs sur moi, ça me passe un peu au-dessus de la tête maintenant", a t-il déclaré.
S’il va bien, ma foi, ça ne peut pas nous faire de mal.
5 réactions
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joelim
19 novembre 2009 00:19
Il y a actuellement des affiches avec sa tronche de vieux cocaïnomane qui disent « et si Johnny (ou autre pseudo-valeur sûre) avait le sida comment le regarderiez vous ?
Apparemment on est sensé faire un transfert de lui (nécessairement adulé n’est-ce pas
) vers les malades du sida, afin nous inculquer de ne pas regarder de travers ces derniers. Ah bon on faisait çà ? 
Bonjour la galère de "transférer" avec un boulet pareil
, çà sent le bon sentiment ministériel prétexte à dépense inutile d’argent public dans le secteur oh combien copinatoire de la communication...Et donc, c’est une rumeur institutionello-publicitaire
.Cela dit, je n’ai pas eu le courage d’écouter le baragouin filmé de ce vieil évadé fiscal.
Evadé fiscal qui est devenu - et qui restera dans la postérité - comme le principal symbole culturel de la Sarkozie.
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joelim
19 novembre 2009 11:51
Oui. Marre de subventionner le cacochyme à coups de concerts nationaux hyper-rémunérés.
Subventions sarkoziennes qui partent illico hors de France afin d’éviter le moindre impôt solidaire français.
De plus, "boulet" n’est pas vraiment une injure, cocaïnomane non plus : le 1er est un point de vue, le second une constatation. Ok rien ne dit qu’il le fût longtemps mais de faire apparaître Johnny comme un référent exemplaire de la France est très tendancieux. Modèle de la franchouillardise serait plus juste.
Cordialement.
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abdelkader17
19 novembre 2009 21:55
Ce sombre crétin désormais symbole de la chanson Française,quelle triste époque.
) vers les malades du sida, afin nous inculquer de ne pas regarder de travers ces derniers. Ah bon on faisait çà ? 
, çà sent le bon sentiment ministériel prétexte à dépense inutile d’argent public dans le secteur oh combien copinatoire de la communication...
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