Plus dure sera la Chute...du mur
Après s’être moqué du site de Ségolène, puis de la nomination de Jean Sarkozy à la tête de l’Epad, puis de la mauvaise blague de Brice Hortefeux à propos des Auvergnats (vidéo du dessous), le web se paie la tête de Nicolas Sarkozy qui paraît-il était là avant que le mur ne chute.
Il était au courant de la chute (du mur) avant les Allemands eux-mêmes. Fortiche, le gars.
2 réactions
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BA
10 novembre 2009 16:08
Le 16 novembre 1989, Nicolas Sarkozy était à Berlin avec Alain Juppé, près du Mur de Berlin.
Je dis bien : le 16 novembre 1989.
Images d’archive de TF1 en date du 16 novembre 1989, diffusé lundi 9 novembre 2009 par LCI. Alain Madelin, Nicolas Sarkozy et Alain Juppé devant le Mur de Berlin, coté ouest. (Capture d’écran)
Cette date du 16 novembre 1989 est confirmée par les archives du journal Le Figaro.
Samedi 18 novembre 1989, le journal Le Figaro écrivait qu’Alain Juppé s’était rendu à Berlin dans la nuit de jeudi 16 novembre à vendredi 17 novembre 1989.
« Alain Juppé, qui s’est rendu à Berlin dans la nuit de jeudi à vendredi, a annoncé hier la création d’une association ... »
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lord volde
11 novembre 2009 12:14
Les vidéos parodies sont excellentes car elles frolent la perfection en matière de restitution et d’exactitude des personnages dont il est question. Amine devant s’exécuter pour sauver son maître sur facebook à travers une pathétique déclaration montrant à la fois sa propension à la génuflexion et son conditionnement pavlovien. La parodie concernant brice hortefeux explique lumineusement la défaite de l’honnêteté sacrifiée sur l’autel de la duperie et du mensonge emportant avec eux l’ensemble de ce qui fait la France visible, à savoir les institutions officielles, la grande presse hyper médiatique, les politiques et les partis dont ils sont l’émanation incantatoire, les élites qui gravitent autour du pouvoir, et la plupart des personnalités publiques. Nous vomissons sur cette France qui ne nous représente pas et qui a tourné le dos aux valeurs essentielles de la république défendues naguère par nos aieux.