Berlusconi à Sarkozy : "Je t’ai donné ta femme"
Durant le sommet franco-italien, mardi 24 février à Rome, Silvio Berlusconi s’est montré très familier avec Nicolas Sarkozy... allant jusqu’à dire qu’il lui avait donné sa femme ! La grande classe à l’italienne... Une familiarité qui n’a apparemment pas ému plus que ça le président de la République, habitué lui aussi aux petites phrases. Les deux font décidément la paire...
4 réactions
-
Vive l’Europe : le libre échange des marchandises, des biens et des personnes ! Après tout, c’est aussi l’UE !
Pas étonnant de voir ce genre de comportement dans un sommet entre les présidents Italien et Français : ils ne sont pas si éloignés l’un de l’autre ! Qui se ressemblent s’assemblent ! Cette décontraction toute naturelle a au moins le mérite de nous montrer leurs vrais visages !
-
-
Non mais regardez comme ils sont à leur place pour amuser la galerie... quels joyeux lurons ces deux là ! Non ! Sérieux ! Sérieux ! Arrête Sylvio ! Sérieux !
Et ça marche apparemment !mais...
...pendant ce temps là !..
En fait, c’est de l’humour vaseline (concept) : Doit-on en rire ? En pleurer ? Nous ne savons pas trop ! Alors on développe, on se perd en conjectures, et ça divertit l’espace médiatique et l’esprit critique en même temps. Des décisions graves pour chacun de nous, il s’en prend en coulisses. Mais chuut ! C’est "Off" ! Et vous pouvez être certains que ce n’est ni à eux ni à tous leurs amis qu’ils vont demander les plus gros efforts dans les temps qui s’annoncent. Alors à qui hein ! C’est à qui ? A votre avis ? C’est au Youki ? Allons, nos commentaires sur tous ces articles ont-ils seulement quelque vertu ? S’érigent-ils contre quelque-chose de réel ? Ou bien ne sont-ils seulement permis que pour surseoir temporairement à notre indignation en nous donnant la factice impression d’agir ? Nos petits pignolages cérébraux menacent-ils d’une quelconque façon l’ordre établi et l’ordre en marche ? Ou ne sont-ils qu’une l’illusion de révolte qui trouve en eux son "exutoire auto-suffisant désincarné" (encore un concept ! Ca dépote ce soir) ? Comment rions-nous ? Jaune, noir, blanc ? Car "U" rit noir, lui, par exemple ! Mais je m’égare. Ces élus se moquent ouvertement de toutes les valeurs principielles élémentaires qui donnent sa beauté unique à la "conscience humaine". Obscènité ! Laissons-les donc aller à leur perte, et prêtons plutôt l’oreille dorénavant, à ceux que tous ces guignols à sa mèmère (et toutes ces guignolles à son pèpère) ainsi que leur clique médiatique dénoncent à longueur de temps, ceux qui ont la légitimité et le pouvoir de faire entendre une voix dissonnante dans tout ce gloubi boulga stéréocacophonique dont on nous gave soir et matin, pour mieux nous picorer le foie le reste de la journée. Je ne sais pas pour vous ? Moi je ressens comme une gêne ces temps-ci ! Maintenant j’en suis sûr ! Les ennemis de ce système ne peuvent qu’être mes amis, ici et partout dans le monde. Et par voie de conséquence, leurs amis sont mes ennemis, comme nous l’a récemment brillament démontré K. Merci au passage, tu as fait beaucoup récemment pour démysthifier toute une génération qui fût dupe de tes mimiques de bogoss. Il ne fallait pas dire du mal de toi ! Non ! Mamy n’était pas contente ! Maintenant, elle n’est pas du tout contente, mais alors pas du tout. C’est « Mamy 2 : le retour » K ! Tu verras bien aux prochaines éRections, l’altitude du rempart ! Hein les gars, on va leur barrer la route, qu’il se grattent un peu les croutes... les bandits. Dis-moi K, tant que t’y es, pendant (tout !) ce temps là, de qui ne fallait-il pas dire de bien ? Ah oui, je vois... enfin peut-être ! Ca en fait du monde, dis donc, du coup ! dans le camp des amis... De tous temps, les « Non dupes » errent... comme le dit si bien Charley Supper, qui se sût père et ne fit donc pas d’enfant mais dit pendant le même temps beaucoup de choses intéressantes. Le jour vient où ils trouveront leur chemin.
Revenons à nos putois de la république et à leurs nuages malodorants : « Je t’ai donné ta femme ! » Non franchement, il n’y a pas de quoi se bidonner. Ces traitres, avec désinvolture, jouent avec nos vies comme un chat avec une souris, avant de lui croquer la tête, ne flattent que la magnificence de leur égo affamé de puissance, ignorant, démoniaque, désinvolte et dédaigneux, et, comble du mépris, se distraient sans la moindre finesse pour nous donner du grain à moudre et que nous pensions à autre chose qu’à ce qui nous arrive vraiment !
Vous aimez l’humour vaseline ? Vous en voulez encore ? J’espère pour vous ! Car vu la taille du machin qu’ils sont tous en train de nous insinuer dans le fondement,
je vous prie de croire que nous n’avons pas fini d’en bouffer !Alors rions ! Bonnes gens !
Il nous restera bientôt plus que ça ! Ouah la Crrrise ! C’est con zauriez du venir ! Ah la Crrise !
-
je vous prie de croire que nous n’avons pas fini d’en bouffer !
Il nous restera bientôt plus que ça !