lundi 11 mai 2015 - par Cercle des Volontaires

Reportage à l’exposition « 100 tableaux pour Aimé Césaire – retour aux sources »

 

Dans le cadre de la Semaine de la Solidarité internationale, l’association Fil’Harmonie organisait une exposition en hommage à Aimé Césaire, du 17 au 29 novembre 2014 au centre d’animation les amandiers à Paris. Le Cercle des Volontaires s’est rendu au Vernissage, et a pu rencontrer deux artistes,Mob et Custos, ainsi que les organisateurs Ozoua Soyinka (poétesse et membre de association « Fil’Harmonie »), Joël Conte (président des « Rencontres Européennes Europoésie ») et Paguy Shako (président de l’association « Passerelles »). Grâce à ces passeurs de sagesse et de poésie, nous tentons de mieux comprendre l’héritage laissé par le célèbre poète. Un héritage qui semble indispensable pour surmonter la crise du « vivre ensemble » que nous traversons actuellement…

 

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Entretien avec les artistes Mob et Cédrick Custos

 

Entretien avec les organisateurs Ozoua SoyinkaJoël Conte et Paguy Shako

 



2 réactions


  • michel-charles 11 mai 2015 10:12
    Aimé Césaire on aime ou on aime pas...J’aime pas..Beaucoup de bruit pour rien.. ?

  • Boris le laid 11 mai 2015 10:16

    Les antillais sont français depuis Louis XIV, et ont toujours été considérés comme tels. Ils étaient la preuve qu’être français n’était pas seulement une question raciale. En les renvoyant à leur négritude, les pseudo-poètes "antiracistes" institutionnels les on rendu indissociables de tous les immigrés africains à qui a été distribuée la nationalité française, et à présent ce sont juste des noirs, considérés comme tels, et ils n’ont pas gagné au change...


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