samedi 9 juillet 2011 - par jeansanteuil

Puro Instinct : Stilyagi

Puro Instinct “Headbangers in Ecstasy” 3 octobre 2011 (Record Makers)



4 réactions


  • Yakaa Yakaa 9 juillet 2011 15:46

    jeansanteuil, merci pour votre ration hebdomadaire de soupe commerciale !
    Et celle ci c’est de la vraie !!!


  • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 10 juillet 2011 09:58

    Le purin d’orties, ça peut servir à nettoyer les oreilles ? 


    Bon, pour ceux qui voudraient écouter de la vraie musique faite par de vrais musiciens et une vraie chanteuse, c’est par ici :


    • Yakaa Yakaa 10 juillet 2011 16:59

      Archive c’est quand même du bon son qui groove pas mal même si c’est vrai qu’elle en chante pas toujours juste et au début je n’aimais pas mais j’ai changé d’avis..
      .
      @ enkidou
      Pas mal du tout ! Mais pour "Lullaby of Birdland", j’avais en tête la version de Chris Connor que je trouve plus plus authentique et dans la retenue.
      Je ne l’ai pas retrouvée mais c’est toujours un plaisir de réécouter Chris Connor smiley


    • Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 10 juillet 2011 23:30

      Enkidu, ce que vous dites est juste du point de vue de l’oreille classique (le jazz est devenu une forme du classicisme). Nikki Yanofski chante merveilleusement bien, avec une puissance fluide, avec justesse et élégance. Cependant, en musique comme dans tous les autres arts, il existe d’autres valeurs que la beauté classique. Pour le dire d’une manière affreusement simplifiée, il existe une "beauté de la laideur", un charme du rugueux, une magie de l’imperfection. Je suis aussi capable d’apprécier la beauté lisse des belles techniciennes de la chanson jazz, comme je peux être charmé par le "beau chant" de la tradition lyrique italienne. Mais je trouve par ailleurs quelque chose dans un groupe comme Archive, ou dans la musique rock en général que je ne trouve pas ailleurs : une certaine tension, une manière de mettre la beauté au bord du précipice de la laideur, quelque chose qui parle à mes couilles, à ma matière brute, à mes cavernes sombres. Et finalement, ce n’est même pas liée à la "modernité" (concept un peu fumeux servant de prétexte à la médiocrité) car je crois que ces deux tendances traversent toute l’histoire de l’art. 


Réagir