lundi 28 juillet 2014 - par Vla l’Jean

Nina Hagen au sommet - 1978 - Concert de Dortmund

Alors jeune et rayonnante prêtresse Punk-Rock, la grande Nina dans un concert de légende ou se succèdent les principaux titres de ses deux meilleurs albums.
(ses deux premiers)

 

 

Un énergie, une voix, une présence incroyable qui donne parfois des frissons…

 

Enjoy !



15 réactions


  • Tomek Tomek 28 juillet 2014 11:09

    aaaah merci valjean, j’adore ce concert. De la même je me réécoute régulièrement ça :
    https://www.youtube.com/watch?v=8Vh2dYYNTyU
    un bon concentré


    • Tomek Tomek 28 juillet 2014 11:10

      à noter la fameuse ’danse du poisson rouge’ vers la fin


    • Vla l'Jean Vla l’Jean 28 juillet 2014 11:29

      J’ai beaucoup écouté l’album "Angstlos" dans ma jeunesse, mais à l’épreuve du temps, je trouve que seuls ses deux premiers albums n’ont pratiquement pas pris une ride.
      A partir d’ "Angstlos"ça a (pour moi) été lé début du déclin musical de Nina Hagen.


    • Tomek Tomek 28 juillet 2014 11:47

      je ne suis pas assez fin connaisseur pour en juger. La video que j’ai postée est meilleure que la version album en tout cas, un petit bijou avec des musiciens reggae complètement canabisés.. Il me semble qu’il y a un autre concert anthologique de cette période (le concert que tu as publié) sur youtube, si je le trouve je poste le lien


  • gerfaut 28 juillet 2014 12:40

    Nina Hagen ou un concentré de punk, de musique classique, de chant tyrolien. Elle est marrante. Il faut dire que les Allemands sont très petit bourgeois, voyez, la bagnole, le canapé, le magnétoscope, etc... alors ils sortent des artistes qui ont envie de tout casser mais en restant dans un certain classicisme, donc un mélange particulier.


    Il y avait Klaus Numi aussi, du bizarre mais très classique et étudié. Lui aussi a été fauché tout de suite par l’ arrivée du sida.


    • gerfaut 28 juillet 2014 13:25
      Pardon Klaus Nomi...

      Là c’ est la version nouveau smoking, samourai, vampire, Frankenstein, Charlot, que du classique revisité. Et avant on est passé chez le coiffeur.

  • juluch juluch 28 juillet 2014 12:43

    Merci pour le partage !!!!!!  smiley



    Ecoutez ça les gars !!



  • gerfaut 28 juillet 2014 12:59

    En fait, elle s’ appelle catherine... Et le soir quand elle raconte une histoire à sa fille, elle a intérêt à se démaquiller parce que sinon l’ enfant ne va jamais dormir.


  • gerfaut 28 juillet 2014 13:21

    Encore une Allemande de l’ Est qui s’ est enfuie à l’ Est avec une envie de tout bouffer.


  • Animal Mother Animal Mother 28 juillet 2014 13:58

    Merci pour le partage .... des années que je n’avais plus entendu Nina ...

    C’etait un véritble ovni a l’époque !!! 

  • Hijack ... Hijack ... 28 juillet 2014 16:33

    Bien que ce ne soit pas du tout le genre de zic que j’écoute, Nina, c’était pas mal dans son genre.
    .


  • hase hase 28 juillet 2014 17:18

    J’adoooooooooôore !!!!!!!!!!!!!


  • Kao EkaterinaSelenaOndirignee 29 juillet 2014 09:43

    Pareil, à priori, je n’écoute que très peu ce style de musical (plutôt musique classique, mais en définitive, il s’agit du même monde, mais vu sous un autre angle, une autre facette du lyrique, c’est gothique) et pourtant je suis fascinée et j’adooôooôooôre aussi.

    Je viens de visionner la totalité de votre document et cela m’a mise en forme.

    Je vais me faire quelques vidéos sur youtube.


  • jeanpiètre jeanpiètre 31 juillet 2014 12:57

    nina est plus proche du glam rock de lou reed période rock’n roll animal /bowie et de zappa que du punk dont elle ne retient que l’esthétique visuelle et quelques titres plus urgents. Cela ne retire rien à son talent et à la qualité de son travail


    • Vla l'Jean Vla l’Jean 31 juillet 2014 13:16

      En effet, musicalement ce n’est pas du tout punk car les zicos sont définitivement trop bons pour faire du punk.
      Par contre, l’énergie dévastatrice du punk était bien là, car elle a mis un gros coup de pieds dans la fourmilière du rock pantouflard de l’époque.
      Et entre les vieux groupes baba-cools et le rock-progressif agonisant (genre Yes ou Genesis), il était temps que Nina et des groupes comme Devo arrivent enfin.


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