Lumio, découverte rock avec le single Staring at the sun
Lumio, c'est le nouveau projet du musicien Niko Gamet. Il sort chez Hacienda Records l'éblouissant clip et album Staring at the sun, à découvrir sans attendre. Notre coup de coeur rock du moment.
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Étirév 10 janvier 08:54
Depuis plus de soixante-dix ans, une puissante révolution a pris forme sans parti politique, sans discours électoraux, et même sans manifeste idéologique pour énoncer les buts et objectifs des nouveaux révolutionnaires.
Pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, une profonde révolution sociale, économique, morale et culturelle a choisi de proclamer son radicalisme par la musique, les Chansons et les stars du Rock and Roll.
Au départ, tout cela n’a pas été pris au sérieux, car tous s’imaginaient que c’était une mode de plus qui finirait bien par passer comme l’avaient déjà fait le Charleston, le Boogie-Woogie et le Twist. Toutefois, le phénomène socio-culturel du Rock and Roll, apparu au début des années 50, allait déferler sur le monde tel une vague de fond mêlée de boue, de scories, de sang et de sacrifices humains.
Soixante-dix ans plus tard, la musique Rock a évolué jusqu’à devenir la plus puissante révolution des corps, des esprits et des cœurs jamais sortie des entrailles de l’Enfer.
En 1951-1952, un jeune chanteur du Centre Ouest américain nommé Little Richard a commencé à modifier le « Beat » du « Rythm and Blues » de la population noire du Sud. Néanmoins, précisons que c’est un disc-jockey de Cleveland (USA) qui inventa le terme « Rock and Roll » pour identifier ce nouveau rythme musical. Ce que la plupart ignorent, c’est que cette expression décrit deux mouvements du corps humain pendant les ébats sexuels. L’emprunt est fait à l’argot populaire des ghettos américains (le terme « Rock and Roll » est un équivalent de « va-et-vient »).
En 1954-1955, un jeune chanteur et guitariste maîtrisait la technique et la forme musicale de cette musique nouveau genre. Il s’agit d’un jeune baptiste du Sud, formé dans une chorale paroissiale, fort admiré pour son talent et pour sa voix pleine de charme. Son nom : Elvis Presley. Ce parfait inconnu est devenu l’idole que l’on sait du fait que sa propre révolte adolescente contre la moralité puritaine de la bible (notamment dans le sud des USA), incarnait l’envie qu’avaient les adolescents de rejeter les tabous religieux et sexuels de leurs milieux. Elvis prenait plaisir à soulever la jeunesse non seulement par sa musique et par ses paroles mais surtout par les gestes obscènes et provocateurs qui accompagnaient ses spectacles. Elvis est vraiment l’initiateur de toute la révolution Rock car à lui seul il a incarné la révolte adolescente contre la famille, la religion et la nation. Il s’est appliqué systématiquement au rejet de tous les tabous, à commencer par les tabous sexuels les plus détestés de la jeunesse en révolte.
Voilà la première phase de la révolution du Rock and Roll dans le monde. D’autres allaient assurer la relève en poussant les principes d’Elvis à leur plus tragique conclusion.
Ainsi, comme il fallait s’y attendre, le « soft » Rock est rapidement devenu le « Hard » Rock dont les principaux protagonistes furent Jerry Lee Lewis et Alice Cooper. Ce qui caractérise cette deuxième vague, c’est d’abord un perfectionnement du rythme (« Beat »), l’intensité du volume et le déchaînement frénétique des percussions.
La Révolution ne fait que commencer. Voici l’arrivée en scène des Beatles, des Rolling Stones et du groupe The Who qui va maintenant ajouter un élément nouveau aux ressources infernales. La jeunesse est déjà initiée aux drogues hallucinogènes depuis que le Dr Timothy Leary a fait connaître la formule du LSD. Inévitablement, la musique Rock allait intégrer toute la panoplie de la drogue à l’éventail des émotions fortes offert aux auditeurs de la nouvelle vogue : l’« Acid Rock ».
On pourrait croire que toutes les limites du Rock avaient été atteintes, mais ce serait là sous-estimer les ressources du génie diabolique des révolutionnaires présentement en cause. Il fallait franchir un dernier seuil, celui de l’occultisme, conduisant au culte satanique.
Les conséquences de l’audition de la musique Rock se rapportent aux cinq thèmes majeurs de l’univers Rock and Roll : le sexe, la drogue, la révolte, la fausse religion et l’influence diabolique.
L’intelligence, la volonté, le libre arbitre et la conscience morale subissent un tel assaut par la voie de tous les sens que leurs capacités de discernement et de résistance sont fortement diminuées, parfois même neutralisées. Dans cet état de confusion morale et mentale, la voie est complètement ouverte aux défoulements les plus violents des pulsions refoulées telles que la haine, la colère, la jalousie, la vengeance et la sexualité.
La meilleure formation morale et spirituelle ne peut résister longtemps à l’érosion inévitable de la conscience, du cœur et de l’esprit, que produit l’audition quotidienne et habituelle de la musique « Rock ».
Ajoutons à tout ce qui précède, les agressions subliminales qui sont de véritables viols de la conscience et manipulations du libre arbitre. Parmi celles-ci nous trouvons le « backward masking process » ou « enregistrement à rebours camouflé », le « beat » et son effet subliminal, la fréquence ultra-sonique comparable au sifflet muet pour les chiens et la stroboscopie et les jeux de lumière.
Qui finance la musique Rock ?
Derrière les Rolling Stones, les Led Zeppelin, les Who, les Pink Floyd, etc., s’allonge l’ombre de la City de Londres, qui en administre les fortunes, planifie et sponsorise les concerts. Il s’agit souvent de personnages comme Brian Epstein, le manager qui lança les Beatles, ou le banquier Rupert Loewenstein, grand ami des Rothschild anglais, et membre discret, mais éminent, de la Haute Finance britannique.
Cette révolution socio-culturelle, politique, économique, morale et spirituelle qu’est le Rock a été faite dans le but explicite de conduire la jeunesse vers l’« Internationalisme » c’est-à-dire à l’avènement d’un seul et unique gouvernement mondial.
La rupture successive des liens avec la famille, l’Église, la nationalité et l’ethnie culturelle, fait que les jeunes perdent le sens de leur appartenance à tel groupe ou à tel pays, mais ont le sentiment d’être citoyens du monde, sans foi ni loi, et sans obligations envers d’autres maîtres que les « puissances d’argent » qui tirent les ficelles, bien que cette dépendance soit inconsciente.
Il est intéressant de noter que la prolifération du Rock en Russie aura lieu lorsque l’économie soviétique « gorbatchévienne » se libéralisera grâce aux injections massives de la Haute Finance. Le Rock en Russie est un sous-produit de la « Perestroïka ».
À propos des studios de production qui assurèrent la diffusion mondiale du Rock, soulignons que ce sont ces mêmes sociétés d’enregistrement (qui feront plus tard la promotion du Hard Rock ou Heavy Metal), qui ont dirigé des opérations secrètes pour détruire l’héritage musical des compositeurs classiques. EMI (Electrical & Mechanical Instruments) qui avait pris le contrôle des enregistrements de musique classique, et notamment ceux concernant des interprètes de musique classique allemands, aura un rôle important dans la promotion des Beatles. Alors, la « magie » de la guitare électrique se substituera au violon ou au piano étudiés précédemment par les jeunes, et s’emparera de l’espace sonore ; on abandonnera Bach, Mozart et Beethoven pour se lancer dans le Rock.
Rappelons que EMI est à la base une des plus grosses entreprises de production d’électronique militaire, mais aussi un élément-clé de l’establishment du renseignement militaire britannique. Toutes ces curieuses « maisons de disques » (Capitol Records, EMI, etc.) dissimulaient des recherches militaires. La grande majorité des fans du Rock libertaire des années 60 ne se doute pas que les disques de ses idoles « révoltées et antimilitaristes » étaient produits par l’armée et les services secrets britanniques.
La musique Rock est, et a toujours été, une entreprise conjointe avec les services de renseignements militaires britanniques et les réseaux satanistes. L’Angleterre a une vieille tradition de ces deux genres d’activité où se croisent les mêmes acteurs.
Un extrait d’un texte de John Todd est révélateur d’une connexion du Rock avec la basse sorcellerie : « de tout temps, dit-il, la sorcellerie a été pratiquée au son du Beat, qui est identique dans les cultes du Vaudou et dans la musique Rock. Impossible de pratiquer la sorcellerie sans cet accompagnement. ».
Aussi, est-ce un hasard si la Loi sur la sorcellerie (Witchcraft Act 1735) fut abolie en Angleterre en 1951, au moment où naissait le Rock ?
En conclusion, rappelons que le « mantram » du Rock en langue anglaise (langue « magique » du Blues) est une transe, un envoûtement. Cette opération de subversion de l’âme de la jeunesse, qui a été menée par les services secrets anglo-saxons, a orienté la culture sur une voie qui s’écarte de l’évolution régulière.
Aujourd’hui, les résultats sont là : la culture Rock a attaché les âmes à des systèmes affectifs et comportementaux régressifs. La « Techno » n’a plus qu’à cueillir les jeunes pour les livrer à l’abrutissement final où les corps sont possédés par le rythme mécanique d’une bestialité robotique.
Souvenons-nous que la Joie, son sens profond, c’est l’accord des rythmes de la Nature. Si cette harmonie est entravée ou rompue, la souffrance est là.
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