lundi 14 septembre 2015 - par Frida

La Fabuleuse Histoire des Jeux Vidéo

Racontée par Lorànt Deutsch, La Fabuleuse Histoire des Jeux Vidéo est la seule série de documentaires de 52’ à revenir sur les quarante dernières années de ce médium au travers d’anecdotes et secrets, des premiers pixels de Pong aux polygones d’aujourd’hui. Proposé en deux parties, ce film revient sur l’histoire du jeu vidéo depuis son origine jusqu’à la Wii en passant par l’Atari 2600 et le phénomène Pac-Man ! À cette occasion, de nombreux intervenants et professionnels du secteur donnent leurs avis sur l’évolution du secteur (le présentateur Marcus, le game-designer Philippe Ulrich ou le journaliste Alain Huygues-Lacour) mais on ne vous en dira pas plus histoire de ne pas vous gâcher le plaisir....

 

 

Niveau 1 : 1972-1995


Au début des années soixante-dix, l’homme venait à peine de faire ses premiers pas sur la Lune et Pong faisait son apparition. En l’espace de quelques années, tout le monde du jeu vidéo va progresser à une vitesse fulgurante : c’est l’ère des inventions, débordante de créativité. Les premiers pas d’une industrie qui deviendra bientôt planétaire...

Durée :: 52 min
Langue :: Français
Format :: 16/9 - DVD 9 - Tous Publics

 

Publicité

 

 

Niveau 2 : 1995-2009


A partir de 1995, l’âge des bidouilleurs touche à sa fin pour laisser place à un véritable loisir grand public... Le jeu vidéo amorce alors une révolution qui se poursuit encore aujourd’hui. Les machines, de plus en plus puissantes, lui permettent d’explorer de nouveaux territoires et de conquérir de nouveaux joueurs pour devenir progressivement un média à part entière.


Durée :: 52 min
Langue :: Français
Format :: 16/9 - DVD 9 - Tous Publics



Lien :: http://www.nsvdigital.com/jeux-video

 

Source :

https://www.youtube.com/watch?v=dIPhishQ6sk

https://www.youtube.com/watch?v=XXMDxLwnDFo

 



9 réactions


  • Avlula 14 septembre 2015 22:27

    Je regarderai ça un jour...
    Je déplore qu’il n’y ait aucun analyste de jeux vidéos à la Nigari (ou de culture japonaise manga et compagnie) dans la "dissidence", je trouverais intéressant d’enquêter, sur les designs, les scénarios, pourquoi avoir encore affublé un héros de l’œil unique, d’où vient cette inspiration, d’où sortent ces symboles etc... C’est un domaine très très vaste, une industrie devenue énorme... On connait la partie émergée de l’iceberg (les bureaux de recrutement de l’armée américaine près des stands de présentation de leurs jeux de guerre style Call of Duty ou Battlefield par exemple). Bref j’adorerais une chronique critique sur le sujet (qui me briserait le coeur smiley).


  • Soi même 14 septembre 2015 22:30
    La Fabuleuse Histoire du décervelage humain.

    • Scalpa Scalpa 15 septembre 2015 00:37

      @Soi même

      et de l’agilité des pouces.


    • Soi même 15 septembre 2015 19:28

      @Scalpa, au moins ce qui perde d’un coté, il le trouve une compensation illusoire.


  • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 14 septembre 2015 23:05

    Merci Frida pour le partage, un regret néanmoins, cette série en 2 levels si j’ai bien compris, n’est pas exhaustive et saute des pans entiers de l’histoire du jeu vidéo mais aussi et surtout de la micro informatique qui a rendu cet art si populaire jusque dans les foyers, pour lobotomiser un maximum de gens à la manière d’Halloween 3 si j’en crois les commentaires ci-dessus, afin d’infecter un maximum de cerveaux, de paralyser un maximum de potentiel cérébral humain prometteur (c’était pas des couillons du bulbe qui étaient les premiers geeks, c’était pas les sportifs et autres frimeurs belâtres des lycées qui couraient les filles plutôt que les pixels, qui s’adonnaient à ce genre de loisir nouveau, porte sur le virtuel, porte sur le cybernétique actuel, c’était ceux et plus rare, celles, qui ne pouvaient pas baiser, s’éclater entre potes, se sentir bien en société à laquelle ils ou elles se sentaient étrangers, parce que rejetés, parce que jugés trop bizarres qui se sont rués pour combler leurs lacunes sociales, sexuelles et autres frustrations psychologiques diverses sur les mondes virtuels interactifs à contrario des autres arts qui font appel à l’imaginaire, comme l’écrit, le cinéma, la bd, les dessins animés, la musique, l’art grapgique, la peinture etc... Les jeux vidéos sont une synthèse de différents arts précités.
    .
    Mais QUID du Commodore 64 ? Qui du THomson ? Quid de l’Alice ? Autant de noms qui auraient mérité d’être cités, surtout la gamme commodore précédant l’ère Amiga.

    Car c’est toute ma jeunesse putain le commodore 64 bordel, pourquoi ils ont zappé commodore et son histoire bordel ? Quand on fait une émission prétendant retracer l’histoire du jeu vidéo t’oublies pas le commodore 64 putain c’est quoi cette arnaque ????
    .
    Heureux néanmoins d’avoir revu Philippe Ulrich un ponte et un pionnier, un passioné talentueux auquel je dois à la fois d’avoir perdu du temps de vie réel au profit du virtuel sur ses créations magiques et d’avoir échappé à la dépression adolescente en m’immergeant dans ses univers interactifs. Ainsi que des noms familiers de l’époque du magasine TILT, merci pour ce voyage en nostalgie, Frida.
    .
    Mais, même avec Läurènt Dèùtchkzwz en narration, cette trop courte série accuse de graves lacunes impardonnables... Le C64, putain, même pas cité, suis dégoûté et je pars bouder....


    • Frida Frida 14 septembre 2015 23:32

      @Gaston Lagaffe
      je ne suis pas une pro des jeux, mais je me suis intéressée par l’intermédiaire de mon fils, beaucoup de jeux sont inspirés de légendes, de l’histoire etc, et donc j’imagine aussi d’organisations secrètes (assassin creed), de symbolismes etc,

      en dehors du divertissement, c’est l’addiction, qui peut s’installer si on n’y fait pas gaffe, j’ai eu d’énormes difficultés avec mon fils dès ses 11 ans, mon autorité a été mise à rude épreuve, je me souviens qu’il voulait jouer à gta, et d’autres jeux très trash...ça fait bizarre de passer de star wars à un truc où butter devient un plaisir...


    • Baston Labaffe Gaston Lagaffe 15 septembre 2015 02:03

      @Frida
      Comme tous les outils, c’est à double tranchant, c’est valable pour le vivant, pour la nature, pour tout, les jeux vidéos ne dérrogent pas à la règle, ils ne sont qu’une transposition de plus de ce que le cerveau humain, issu de la nature, est capable de faire, selon le point de vue, le pire comme le meilleur et les jeux vidéos ne sont que la suite logique de l’imaginaire romanesque, mystique, d’anticipation sur la curiosité et le paradoxe naturel et idéologique de l’humain, une suite numérisée des rêves de l’humanité qui se traduisent par autant de roman, autant de fantasmes, autant de fictions inspirées du réel que l’humain se fait de lui même quand il naît innocent dans un système corrompu, peut être la vraie définition du péché originelle et dont l’antidote serait pour l’humain que de lutter jusqu’à retrouver sa vraie nature, en attendant de le faire, avec les moyens dont il dispose, il retranscrit ou transpose sa matrice interne faussée par tant de mensonges à travers les arts qu’il pratique.

      .

      Tout ce à quoi nous assistons aujourd’hui n’est que le reflet d’une humanité en quête de retrouvailles d’elle même, les jeux vidéos en font partie intégrante et synthétisent l’expression artistique d’une humanité prisonnière de ses contradictions, des défauts de ses qualités, rien de plus, rien de moins, j’ai assisté à la naissance de ce nouveau média, j’ai connu l’ambiance de la fin des années soixantes, je suis un quadragénaire qui fait charnière entre l’analogique et le numérique, l’ancien et le nouveau monde, et si tout cela peut sembler fou pour les gens lambda, il n’y a rien de satanique dans l’évolution mondiale, juste des facteurs humains qui se croisent et s’entre choquent à tous les égards, dans des contextes temporels donnés, mais qui finissent par manquer de place et qui, à force d’hypocrisie "pacifiste" se retrouvent au nom de la paix sociale planétaire, condamnés à faire semblant d’être des bisounours...

      .

      Les jeux humains reflètent la nature profonde de leurs concepteurs, eux mêmes inspirés par le réel et l’histoire humaine, la technologie aidant, le romantisme ou le mysticisme dont l’humain se pare pour oublier sa véritable nature et qui est sa mère des mères a supplanté son réel jugé par ce dernier indigne de ce qu’il croiit être, un dieu régnant sur l’univers à l’image du dieu unique qui l’aurait lui même créé à son image. C’est pourquoi, au delà de l’aspect commercial qu’il a aujourd’hui, le jeu vidé résulte des balbutiements de commencement d’échange de langage entre l’homme et la machine. Si dieu (admettons) a créé l’homme à son image, alors l’homme créa l’ordinateur à la sienne... Ludique au premier abord mais dégénérant vite, à son image, en concurrence vitale à mort... L’homme a tué dieu, l’ordinateur tuera t’il l’homme ? Attali a sûrement une réponse à la con à cette question... Mais qu’importe, observons la suite...


  • tinga 15 septembre 2015 16:41

    Beaucoup trop lacunaire et aucune analyse sérieuse, rien sur le coté transgressif, rien sur le piratage, rien sur les dérives militaristes fachos de certains jeux, bref un regard assez niais et complaisant sur ce truc bizarre appelé jeux vidéo.


  • Trankil78 Trankil78 15 septembre 2015 19:00

    Pour ceux qui auraient envie de se faire une petite partie après le visionnage du documentaire :

    - Gratuits , Jouables sur le navigateur :

    Le classique des classiques :
    http://tetris.com/play-tetris/

    Le jeu éducatif d’Arte qui retrace l’histoire de la typographie :
    http://typerider.arte.tv/#/jeu

    Autres jeux gratuits :  ici

    - A installer (payants) : (selon votre configuration)

    Le meilleur des pac-man rétro :
    http://store.steampowered.com/app/236450/

    le shooter rétro revisité : (jouable aussi sur mobiles)
    http://store.steampowered.com/app/310790/

    Fable onirique brésilienne méconnue et pourtant remarquable
    http://store.steampowered.com/app/227080/

    A mi-chemin entre blade runner et la jetée de Chris Marker : Remember me
    s’illustre au sein d’une société dystopique prenant place dans un Paris futuriste : créé par les studios Dontnod sous la supervision de l’auteur de science fiction Alain Damasio :
    http://store.steampowered.com/app/228300/


Réagir