samedi 17 janvier 2015 - par Frida

Histoire de L’armée Française

Histoire de L’armée Française 1789-1870

 

 

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Histoire de L’armée Française 1871-1939

 

 

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Histoire de L’armée Française 1940-1962

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Histoire de L’armée Française 1963-1996

 

 

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http://carlpepin.com/2010/09/12/bre...

http://carlpepin.com/2010/09/14/bre...

http://www.imineo.com/documentaires...

http://www.jemproductions.fr/docume...

http://vinny03.perso.neuf.fr/gg/mas...

http://military-photos.com/index-ph...

http://www.rdv-histoire.com/-L-arme...

 



22 réactions


  • michel-charles 17 janvier 2015 12:00
    Histoire de L’armée Française.. ?....Des morts encore des morts..toujours des morts.. !

    • maQiavel maQiavel 17 janvier 2015 12:19

      C’est un peu le principe de la guerre : faire  des morts.

      Sion trouve cela horrriiiiible, c’est à la guerre qu’il faut s’en prendre, pas aux armées qui n’existent que parce que l’ état de guerre existe.


    • MrVeeshan MrVeeshan 17 janvier 2015 13:33

      L’histoire de l’armée ( on pourrait dire de toutes les armées et même généraliser à toutes ces institutions aux ordres ) : de biens dociles et rentables larbins à la botte du système , vérifiable à toutes époques et sur n’importe quelle partie du globe ....


  • cathy30 cathy30 17 janvier 2015 13:03

    Les guerres prennent fin quand il n’y a plus de combustible de chair et de haine. 


    • scalino scalino 18 janvier 2015 04:11

      c’est a dire quand l’humanité aura disparu smiley


    • cathy30 cathy30 17 janvier 2015 13:23

      Oui j’ai vu ça Wyrd, ils devancent les souhaits des musulmans, alors qu’ils n’ont rien demandé !!


    • Joe Chip Joe Chip 17 janvier 2015 14:03

      Vu ce que les profs entendent, ce genre de mesure est voué à se multiplier à l’avenir. Marianne vient de publier le témoignage consternant du dramaturge Mohamed Kacimi. Voici venue l’heure des "accommodements raisonnables" et des renoncements discrets sur fond de montée des tensions. 

      http://www.marianne.net/agora-monsieur-ils-ont-bien-cherche-1421429745.html

      Je m’installe au CDI où je suis reçu par la prof de français qui ressemble à toutes les profs de français du public, car elle a des cernes qui tombent jusqu’aux chevilles.

      « Vous parlez de Charlie ?

      – Oui, c’est ça.
      – Vous l’avez vécu comment, vous, monsieur ?
      – Je dois vous avouer que j’ai eu beaucoup de peine.
      – Ah, s’esclaffent certains, pas nous.
      – Pourquoi ?
      – Ils l’ont bien cherché.
      – Ils l’ont voulu.
      – Ils ont eu ce qu’ils voulaient.
      – On n’insulte pas les gens comme ça.
      – Surtout notre Prophète. Personne ne l’a vu, personne ne lui a serré la main, comment peuvent-ils le dessiner ? »

      J’essaye de calmer le jeu.

      « Croyez-vous que l’assassinat soit la meilleure réponse ? Ne vaut-il pas mieux répondre à la critique par la critique ?
      – Vous rigolez. Si on critique, ils risquent de recommencer.
      – Comme ça, on n’en parle plus. »

      Je calme un peu le brouhaha.

      « Vous vous rendez compte que vous vivez dans un pays démocratique et qui a une longue tradition anticléricale qu’il faut connaître et respecter. »

      Le propos, loin d’apaiser les élèves, jette de l’huile sur le feu.

      « Oui, démocratique pour les uns, pas pour les autres.
      – Tu fais une quenelle, tu te retrouves en garde à vue.
      – Tu dis “Allah akbar”, tu te reçois une balle dans la tête.
      – Et Dieudonné, lui n’a pas le droit de déconner, comme vous dites.
      – Y a que les juifs qui ont droit à l’humour ?
      – Oui, nous, comme on n’a pas le droit de rigoler, on tire dans le tas.
      – On se marre comme on peut. »

      Au fond de la salle, un grand Black lève la main.

      « Monsieur, faut que je vous dise une chose, c’est la guerre. Ça va être la guerre, nous les musulmans et les autres, les juifs et les chrétiens, la guerre à mort.
      – Tu es musulman ?
      – Non, je suis chrétien.
      – Pourquoi tu dis que tu es musulman ?
      – Je dis ça parce que j’aime Anelka, il est musulman, tout le monde le déteste, lui déteste tout le monde, et nous on l’aime… Je vais me convertir juste pour Anelka, monsieur. Ce sera la guerre, monsieur, comme avec Anelka. »


    • gerfaut 17 janvier 2015 14:20

      C’ est interessant, merci, mais faites un sujet là-dessus les gars, on vous a censuré le vôtre ?


  • cathy30 cathy30 17 janvier 2015 13:20

    Avez vous remarquez qu’ils ne parlent jamais de la 1ere ?


    • gerfaut 17 janvier 2015 13:52

      Avez-vous remarqué ? Pas d’ armée française avant 1789 non plus !


  • gerfaut 17 janvier 2015 14:12

    C’ est toujours la même rengaine, avant c’ était pas bien, mais quand est arrivée la révolution, ouah, qu’ est ce que cela a marché l’ armée française... En réalité on est passé d’ un équilibre à un autre. Certainement parce qu’ il le fallait, un systême fonctionne toujours un temps donné, mais il n’ est pas moins bon.


    La France a été construite dans ses frontières actuelles quasiment intégralement sous les rois de France. Cela a marché pendant des siècles et bien plus longtemps que depuis la révolution, si on compare.

    Ensuite, on est sous l’ Ancien Régime dans une société de privilèges, et chacun a le sien. La noblesse d’ épée défend son privilège et ses places à l’ armée, parce qu’ elle n’ a pas le droit à l’ origine de faire autre chose. Commercer ce serait déroger, et c’ est encore mal vu en 1789. 

    Les aristocrates défendent le privilège de mourir sur les champs de batailles, quel privilège ! Les gauchistes dénoncent les privilèges de la noblesse d’ épée à l’ armée et la guerre en général, mais si on met les deux bout à bout, cela fait des nobles qui réclament le droit de mourir à la guerre, on voit bien la mauvaise foi !

  • maQiavel maQiavel 17 janvier 2015 14:23

    L’armée républicaine, l’idéal Spartiate et Romain … l’idéal Rouseauiste et Machiavélien. .. l’idéal Républicain qui établit un lien intrinsèque entre la citoyenneté et le devoir de défense qui n’est plus l’affaire de gens de métier mais l’affaire de tous , qui établit une continuité entre vie civile et vie militaire, entre le citoyen et le soldat  … l’idéal du peuple en arme, l’idéal du citoyen soldat.

    « Libre ou mourir, ici une vie ne compte pas » clamait fièrement le citoyen soldat de l’an II, le brave heureux de donner sa vie pour la res publica ( « la chose publique »), voilà qui illustre la force mentale des armées républicaines constituée de citoyens motivés,  l’élan patriotique en étant le socle.

    Des promotions au mérite et à la compétence mais aussi soumis au choix des troupes : les soldats élisent leurs sous officiers et officiers inférieurs tandis que les officiers supérieur sont élus par les officiers inférieurs. Magnifique exemple d’autogestion qui ressemble d’ ailleurs un peu aux institutions des pirates des caraïbes.

    Nicolas Machiavel fait cette remarque : « Si donc vous formez un peuple nombreux et guerrier, vous le composez tel que vous aurez plus de peine à le manier et à le conduire ». 

    De fait, on peut constater que les sociétés dans lesquelles les gouvernés ont un pouvoir ou un contre pouvoir sont celles ou les citoyens (ou les sujets) sont armés, tout simplement parce que les gouvernants ne peuvent pas dans ces conditions, les opprimer à leur guise.

    Pendant une petite parenthèse, la révolution a réalisée cet idéal, mais l’instabilité politique et la contestation sociale en a eu raison : les complots se multiplient, l’armée devient un outil conquête et d’expansion au service des ambitieux. Désormais les « Vive la France », « Vive la république » deviennent des « vive l’empereur », ainsi meurt l’idéal républicain.

     Merci pour ce reportage (je n’ai vu que la première partie).

     Pour ceux que cela intéresse, l’atelier constituant sur les forces armées, avec Laurent Henninger (qui intervient dans le reportage) et Etienne Chouard.


    • maQiavel maQiavel 17 janvier 2015 14:32

      Je sais que je vais faire bondir mais s’il y’ a un pays de nos jours qui  est le moins éloigné de cet idéal républicain du citoyen soldat … c’est Israël. Je n’y peux rien, c’est un fait. Et le fait que ce soit une armée colonialiste ne change pas cette réalité …

      Il y’ a aussi un site intéressant pour ceux qui ont une certaine sensibilité à la question du citoyen soldat : Théatrum Belli, l’esprit citoyen de Défense.


    • gerfaut 17 janvier 2015 14:38

      C’ est aussi parce que c’ est ingérable, pendant la révolution, le peuple de Paris envahissait régulièrement l’ Assemblée en armes et imposait ses vues. Voilà pourquoi sous le Premier Directoire une loi imposait à l’ Assemblée de lire trois fois de suite chaque texte avant de le voter, ce qui a rendu à son tour le régime impuissant. Et après ça, on est content quand arrive un dictateur...


      Sous l’ Ancien Régime et son armée de professionnels, au moins les paysans ne partaient pas à la guerre. La guerre c’ est mal disent les gauchistes, mais il faudrait que le peuple soit guerrier, il faudrait savoir.

    • gerfaut 17 janvier 2015 14:54

      Le citoyen soldat ne marche que dans certaines conditions, lesSuisses et la peur qu’ ils suscitent cachés dans leurs montagnes, et puis un pays dans une situation d’ urgence ou tous se tiennent donc à carreaux comme en Israël et sous l’ An II.


      A part cela, je ne vois pas.

    • maQiavel maQiavel 17 janvier 2015 17:09

      L’armée française d’ancien régime bénéficiait d’un outil technique de qualité. La révolution va en hériter pour la transformer en armée populaire animée par un moral en acier. Napoléon lui-même héritera de cette armée révolutionnaire pour en faire une machine de guerre offensive.

      Le vrai est dans le tout, l’armée révolutionnaire ne tombe pas du ciel, il y’ a bien un travail en amont de l’ancien régime. Je ne vois pas comment on peut louer les armées révolutionnaires et blâmer celles d’anciens régime, il ne me semble pas que ce soit ce qui est dit dans le reportage.

      -C’ est aussi parce que c’est ingérable, pendant la révolution, le peuple de Paris envahissait régulièrement l’Assemblée en armes et imposait ses vues.

      ------> C’était un moment Machiavélien c.à.d. ce moment de l’histoire ou les rapports de forces peuvent faire basculer la cité dans le chaos ou au contraire faire consensus et donner naissance à des institutions solides.

      Les français n’ont pas réussit cette épreuve et ont basculé dans le chaos, pour rétablir de l’ordre, il a fallut un dictateur. Les romains quant à eux, ont su passer cette épreuve  (sécession de la plèbe) pour se créer des institutions (avant de retomber dans le chaos des siècles plus tard).

      Pour le reste, je ne suis pas un « gauchiste » (si tant est que ce terme ait un sens quelconque), je pense effectivement que la guerre est une saloperie mais surtout qu’ elle existe. Donc il faut parfois la faire pour se conserver. Je suis un réaliste.


    • maQiavel maQiavel 17 janvier 2015 17:13

       Quant à l’idéal du citoyen soldat, pour qu’il se réalise, il faut bien évidemment un contexte. C’est une vaste question qui fait entrer tout une série de paramètre qu’il serait inutile d’expliciter ici mais effectivement, le fait d’être entouré d’ennemi est un facteur favorisant, mais pas le seul, il y’ en a d’autres …


  • Piloun Piloun 17 janvier 2015 17:58

    Le devoir qui incombe à l’Etat d’assurer au peuple quelque chose qui soit réellement une patrie ne saurait être une condition pour l’obligation militaire qui incombe à la population en cas de péril national. Car si l’état à sa charge, si la patrie dépérit, néanmoins, tant que l’indépendance subsiste, il y a espoir de résurrection ; si on regarde de près, on constate dans le passé de tous les pays, à des dates parfois rapprochées, des abaissements et des relèvements très surprenants. L’espérance seule, quand même il n’y aurait rien, vaut la peine qu’on meure pour la préserver.

    Ainsi, bien que la patrie soit un fait et comme telle soumise à des conditions extérieures, à des hasards, l’obligation de la secourir en cas de danger mortel n’en est pas moins inconditionnée. Mais il est évident qu’en fait la population sera d’autant plus ardente que la réalité de la patrie lui aura été rendu sensible.

    Simone Weil


    • Piloun Piloun 17 janvier 2015 18:00

      3ème ligne j’ai oublié un mot^^

      . Car si l’état manque à sa charge


    • Piloun Piloun 17 janvier 2015 18:56

      Certains gauchistes pacifistes et antimilitaristes(le cancer qui nous a mené à la défaite en 40) devraient relire cette grande penseuse qu’était Simone Weil.


  • gerfaut 18 janvier 2015 21:50

    Sur l’ armée royale avant la révolution, pas abordée ici dans les vidéos.


    La marine de Louis XVI a foutu la pâtée à la Royal Navy, son ennemie de toujours, pendant la guerre d’ Indépendance Américaine, cela qui en parle ? 

    Sans l’ intervention des flottes française dans la baie de Chesapeake, c’ est bien simple, il n’ y aurait pas eu la victoire des US/Français contre les Anglais et certainement pas d’ Indépendance américaine.

    Et tout cela n’ est pas un hasard, les vaisseaux Français ont été très souvent mieux construits que ceux de la marine anglaise, et à cette époque on avait le dessus, par exemple on a sorti les premiers vaisseaux avec des coques en métal, innovation française. Le brûlot est aussi une invention française par exemple.

    Cette guerre est nôtre revanche sur la Guerre de Sept Ans. elle a permis la naissance des USA mais paradoxalement, elle a entrainé une dette terrible et la chute de la monarchie française.

    Donc c’ est une armée et ses succès qui ont mis fin à la royauté française (provisoirement), et pas seulement la Révolution Française.

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