Le féminisme a tué Blanche Neige
Le remake de Blanche Neige de 2025 continue de cumuler les mauvaises critiques. L'histoire beaucoup trop différente de l'original n'a absolument pas plu à l'audience et pour plein de raisons. Un remake au gout des féministes.
4 réactions
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Étirév 8 avril 08:12
La Franç-Maçonnerie anglo-saxonne et son féminisme frelaté qui, à l’instar du sionisme qui peut faire détester les « juifs », ou plutôt les Israélites, peut vous rendre terriblement misogyne.
Peut-être pourrait-il, d’ailleurs, y avoir, historiquement, disons plutôt « proto-historiquement », un lien très fort entre Israël et la Femme…
Depuis la fin du Moyen Âge, un changement considérable s’est produit dans la direction donnée à l’activité humaine.
Ce changement est le résultat direct de la mentalité des peuples Anglo-Saxons. Celle-ci se confond avec l’esprit antitraditionnel, en lequel se résument toutes les tendances spécifiquement modernes.
Précisons avec l’« Encyclopédie de l’Histoire du Monde », que le terme d’« Anglo-Saxon » n’a, à l’origine, rien à voir avec une quelconque appartenance ethnique, et ne désigne que ceux qui avaient émigré des territoires germaniques vers l’île de Bretagne ; il semble (d’après cette encyclopédie) n’avoir été utilisé principalement qu’après 1066 et la conquête normande de l’Angleterre par Guillaume le Conquérant et ses « compagnons », dont les futurs hauts barons anglais.
Aussi, profitons-en pour dire qu’il ne faut pas faire de confusion entre la Maçonnerie moderne (ou Maçonnerie anglo-saxonne) dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et la Maçonnerie ancienne dite « Opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères », c’est-à-dire dans un enseignement donné dans le secret pour continuer à expliquer les lois de la Nature. Aussi, c’est cette dernière, et non la « spéculative », qui a toujours été visée et/ou interdite par certains régimes totalitaires. Précisons au passage que, dans les Mystères antiques, l’« Initié » prenait un autre nom en même temps qu’il s’intitulait « Mâo Soon » qui, en grec, signifie : « Je cherche ce qui est sûr », c’est-à-dire la Vérité. C’est de ces deux mots « Mâo Soon » qu’on fera plus tard « Maçon ». Le terme « Maçonnerie » viendrait de « Mesouraneo » (Je suis au milieu du ciel).
Cela dit, rappelons que la Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (Les « Mystères de Jérusalem »), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël. Cependant, Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), dit ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable ». « C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, précise René Guénon qui ajoute qu’on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne (ou « Maçonnerie spéculative »), sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation, et une dégénérescence au sens d’un amoindrissement consistant dans la négligence et l’oubli de tout ce qui est « réalisation » du point de vue initiatique. Les premiers responsables de cette déchéance, à ce qu’il semble, ce sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents (Old Charges) de l’ancienne « Maçonnerie Opérative » sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênantes. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). (…) Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous, puisqu’on connaît une centaine de manuscrits sur lesquels ils n’avaient pu mettre la main et qui ont échappé à la destruction. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle, bien qu’il y a eu ultérieurement une autre déviation dans les pays latins, celle-ci dans un sens antireligieux, mais c’est sur la « protestantisation » de la Maçonnerie anglo-saxonne qu’il convient d’insister en premier lieu. ». De plus, René Guénon, dans son ouvrage « Initiation féminine et initiations de métier, Études Traditionnelles », nous fait remarquer que dans la Franc-Maçonnerie moderne, nous trouvons l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le « féminisme » contemporain. -
Étirév 8 avril 08:14
Dans son ouvrage « Réflexions sur les destinées de la Russie et de l’Europe » (1927), Nicolas Berdiaeff dit que les femmes jouent un rôle singulièrement important dans le réveil religieux de notre époque. Les femmes sont prédestinées à être, comme dans l’Évangile, les porteuses d’aromates (nourriture de l’esprit). Cette extension du rôle de la femme dans la période future de l’histoire ne signifie pas du tout le développement du mouvement d’émancipation féminine de l’histoire moderne, qui se proposait de rendre la femme semblable à l’homme, de conduire la femme par une voie masculine. C’était là un mouvement antihiérarchique et égalisant, niant la qualité originelle de la nature féminine.
Ce n’est pas la femme émancipée ni rendue semblable à l’homme, mais l’éternel féminin, dit-il, qui aura un grand rôle à jouer dans la période future de l’histoire.
« Les chevaliers reviendront, dit Merlin, quand Galaad leur tendra des armes nouvelles. Et ils reprendront la Quête, non dans le sang mais dans la Lumière, non contre l’Amour mais avec lui. »
« Das Ewig-Weibliche zieht uns hinan » : « L’éternel féminin nous entraine vers le haut » (Goethe, Faust).
NB : Quand on élève un enfant, pas quand on l’éduque, mais quand on « l’Élève », ce qui n’est pas la même chose, la femme doit faire le travail « Intérieur » et l’homme le travail « Extérieur ».
C’est la femme qui créée toute la spiritualité chez l’homme, toute la réflexion intérieure ; l’homme prend l’enfant, l’amène dans le monde, et lui fait voir ce qu’il y a à l’extérieur.
Si l’on regarde dans la langue des Oiseaux, et que l’on écrit les mots « HOMME » et « FEMME », la première chose que l’on constate, c’est qu’il n’y a que les deux premières lettres qui changent.
Le « M » veut dire « la Création » et le « E » c’est « le Monde ». Les lignes horizontales figurant, de bas en haut, dans la lettre E, c’est d’abord le matériel, puis le spirituel et enfin le divin, toutes trois reliées à une ligne verticale représentant l’Unité. C’est pour ça que le E c’est le Monde. D’ailleurs, si l’on retire la « matière » du E (du monde), il reste le « F », le « Feu ».
Ainsi, la Femme, c’est le « F » (le « Feu ») et le « E » (le Monde) ; c’est la Femme qui amène le Feu dans le Monde, c’est-à-dire l’Esprit, le « Spiritus ». C’est pour ça que la Femme est toujours l’intercesseur entre les hommes et les Dieux.
Quand l’homme s’est rendu compte que c’était un pouvoir, il l’a pris pour lui. Mais à l’origine, ce sont les femmes qui sont l’intercesseur, voire les Vesta, les Pythies, etc.
« FE » c’est donc la Femme qui fait descendre le Feu (F) dans le Monde (E) ;
Dans le mot « HOMME », le « H » c’est l’Équilibre et le « O » c’est le Corps et l’Esprit ; l’élément O est le corps dans la totalité.
Par conséquent, « HO » c’est l’Homme qui récupère le « Feu », fait l’Équilibre (H), et grâce à son Corps et son Esprit (O), le met dans la Matière.
En résumé : dans le Monde, la FEmme amène le « Feu » et l’HOmme « a chaud ».(Merci à Patrick Burensteinas)
La Nature a donné à chacun des fonctions différentes : l’Homme féconde le corps de la Femme, et la Femme féconde l’esprit de l’Homme.
Blog-
nono le simplet 8 avril 08:36
@Étirév
la Femme féconde l’esprit de l’Homme
ha ! ça vient de là ! ... les gros cons sont mal fécondés ? -
Gollum 8 avril 11:50
@Étirév
(Merci à Patrick Burensteinas)
Oui merci à lui, l’escroc alchimiste qui prétend avoir réussi le Grand Œuvre et donc d’être capable de faire de l’or (au cours actuel ça vaut le coup) MAIS qui propose des stages (nouillages) hors de prix, pour pouvoir alimenter son compte en banque, en espèces sonnantes et trébuchantes..
Cherchez l’erreur.
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