dimanche 14 octobre 2018 - par Isdomir

Quelle est la taille de l’Univers ? (et sa forme ? son origine ? sa fin ?)

A partir de différentes notions (Horizon cosmologique, Vitesse de la lumière, Univers observable...), peut-on trouver la taille de l'Univers ?

Dans le cas d'un Univers non statique - le nôtre serait en expansion (expansion qui s'accélère ?) -, l'affaire se complique... Peut-on dans un premier temps mesurer la taille de l'Univers Observable ? Notre champ de vision diminue-t-il ou augmente-t-il en fonction de l'expansion de l'Univers ?

L'Univers est-il fini ou infini ? Peut-on connaître sa taille ?

 

Aujourd'hui, on va parler de la taille de l'univers et du principe d'univers observable. (DIMENSION, 13 oct. 2018 : Quelle est la taille de l'Univers ?)

 

Trois chercheurs de l'Université de Vancouver (Canada) viennent de proposer dans un article impressionnant, publié dans Physical Review D, une solution très élégante qui explique pourquoi l'Univers est en expansion accélérée, et qui réconcilie relativité générale et physique quantique tout en éliminant la notion d'"énergie noire" ou constante cosmologique. Une révolution si cette vision est confirmée. (Ca se passe là-haut, 17 mai 2017 : Une explication théorique de l'expansion accélérée de l'Univers)

 

L'univers est-il fini ou infini, quelle est sa forme, sa topologie. Interview par Jonathan Sarre pour le site Futura Sciences, septembre 2014 (Jean-Pierre Luminet : Quelle forme et quelle taille pour l'univers ? par Jean-Pierre Luminet)

 

(Balade Mentale, 9 mars 2018 : Voyage dans l’infiniment GRAND - aussi loin qu'il est possible d'aller)

 

Conférence donnée à la Société Astronomique de France le 16 février 2018. Merci à Laurence Honnorat pour la captation vidéo. (Jean-Pierre Luminet : LES FORMES DE LESPACE, par Jean-Pierre Luminet)

 

 

Pour continuer le questionnement  : 

 

—> Notre Univers serait-il né d'un trou noir ? par Jean-Pierre Luminet
 2min42 (sept. 2014)

 

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—> Dans quoi grandit l'univers en expansion ? par Jean-Pierre Luminet
 3min04 (2010)

 

—> Qu'y avait-il avant le Big Bang ? Par Aurélien Barrau


 21min35 (sept. 2017)

 

—> [David Elbaz] L’Univers est-il une illusion ?

 1h43min16 (fév. 2018)

Les Mardis de l'Espace des sciences avec David Elbaz, astrophysicien. Il est directeur de recherches au Commissariat à l’Energie Atomique (CEA Saclay) et responsable du Laboratoire Cosmologie et Evolution des Galaxies.
« L'éternel mystère du monde est son intelligibilité » déclarait Einstein en 1936. Or près de 95% du contenu de l'univers échappe à toutes les investigations théoriques. Et s'il fallait changer notre regard sur l'univers ?

 

—> 10 THÉORIES sur la NAISSANCE de l'UNIVERS par Top Factory
 13min26 (30 mai 2017)

Nous ne connaissais que très peu de choses sur notre univers, y compris son origine. Bien que la théorie du Big Bang soit adoptée par nombreux parmi nous, il existe cependant d'autres théories sur la naissance de l'univers et je vous invite donc à en découvrir 10 d'entre elles dans cet épisode.

 

—> L'Univers a-t-il connu l'instant zéro ? - Etienne Klein (École normale supérieure - PSL)
 32min19 (juin 2015)

 

—> COMMENT L'UNIVERS EST NÉ ? par DIMENSION
 5min01 (23 mai 2017)

 

—> COMMENT L'UNIVERS VA-T-IL MOURIR ? par DIMENSION
 5min02 (10 févr. 2018)

 



39 réactions


  • Étirév 14 octobre 2018 16:43

    Supposer un commencement et une fin à l’Univers, c’est supposer un commencement et une fin à la matière, un commencement et une fin à la force (la matière en mouvement), ce qui serait absurde.
    Ce qui commence, ce sont les astres, puisqu’ils naissent et meurent ; mais l’Univers, au sein duquel ils évoluent est éternel.
    Pour comprendre ceci, il faut d’abord rappeler que toutes les religions de l’antiquité commencent leur cosmogonie par l’histoire du chaos, état qui précède, dans l’Univers, toute organisation de la matière. Manou dit : « Ce monde était dissout dans le non-être, imperceptible, sans propriété distinctes, ne pouvant tomber sous les sens, ni être imaginé par la pensée. C’était le sommeil de la Nature.  »
    Cette conception du chaos primitif se rapporte à l’état nébulaire de notre planète. Les cosmogonies anciennes ne voulaient, évidemment, désigner par le mot « chaos », que l’état antérieur à l’organisation de la matière planétaire, l’état primitif des matériaux terrestres, soit lorsqu’ils se trouvaient dissociés comme ceux d’une nébuleuse, soit lorsqu’ils commençaient déjà à se réunir en une masse solide formant ainsi un noyau inorganique encore impropre à la vie.
    Si nous appliquions le mot « chaos » à la matière cosmique universelle, nous tomberions dans une erreur de principe, nous supposerions que l’Univers a eu un commencement, ce qui impliquerait une fin, car ce qui a commencé doit finir.
    Suite...


    • Belenos Belenos 14 octobre 2018 17:33

      @Étirév
      "Supposer un commencement et une fin à l’Univers, c’est supposer un commencement et une fin à la matière, un commencement et une fin à la force (la matière en mouvement), ce qui serait absurde.
      Ce qui commence, ce sont les astres, puisqu’ils naissent et meurent ; mais l’Univers, au sein duquel ils évoluent est éternel."

      Peut-être aussi que les concepts de finitude et d’éternité, ou tout simplement de temps et d’espace, n’ont eux-mêmes aucun sens en dehors du logiciel humain et qu’ils sont inappropriés pour comprendre et décrire la réalité de l’univers. Dans ce cas, dire que l’univers a eu une naissance ou bien au contraire qu’il est éternel ne sont que deux manières de décrire notre propre et minuscule univers mental. Et rien de plus. L’Univers est bien capable d’être fini et infini en même temps (si je puis dire). Ce n’est parce que notre pensée ne peut le concevoir de manière aristotélicienne que cela va le gêner, l’Univers.  smiley


    • sls0 sls0 14 octobre 2018 20:35

      @Étirév
      Les religions de l’antiquité n’avaient ni télescope ni le savoir associé.

      Ils avaient de l’imagination.


    • Heron Heron 14 octobre 2018 21:05

      @sls0

      Ou alors les religions de l’antiquité ont amalgamé et dilué des bribes de connaissances antérieures bien réelles sans vraiment en comprendre la portée..


    • imago imago 14 octobre 2018 21:06

      @sls0
      ils avaient aussi une forme d’humilité qui fait cruellement défaut aux messieurs je sais tout qui nous mène direct la gueule dans le mur.


    • sls0 sls0 14 octobre 2018 22:59

      @Heron
      Oui c’est vrai que j’ai oublié les dinosaures, sacrés penseurs les dinosaures.

      Je ne parle que des êtres dont on a retrouvé des traces ailleurs que dans la tête de Grimaut et consors.


    • gaijin gaijin 15 octobre 2018 09:14

      @Belenos
      " Peut-être aussi que les concepts de finitude et d’éternité, ou tout simplement de temps et d’espace, n’ont eux-mêmes aucun sens en dehors du logiciel humain et qu’ils sont inappropriés pour comprendre et décrire la réalité de l’univers. "

      quoa ? nous serions limités ? nous ? non pas possible .....nous qui sommes construits a l’image de dieu ( enfin les blancs bien sur ....) qui depuis le 19ème sommes arrivés au sommet des possibilités de la connaissance ? en plus nous les français dont le pays est au centre des cartes de géographie .....inconcevable ....


    • Belenos Belenos 15 octobre 2018 19:42

      @sls0

      "Les religions de l’antiquité n’avaient ni télescope ni le savoir associé.

      Ils avaient de l’imagination."


      Les chefs religieux n’ont jamais eu d’imagination. Ils se sont approprié les rêves des poètes et des mystiques pour en faire un système de contrôle social fondé sur un récit mystérieux et édifiant, en particulier destiné à gouverner l’intimité des gens dans tous ses aspects (désir sexuel, peur de la mort, culpabilité...) Mais l’argument de la scientificité peut aussi bien être récupérée par des chefs religieux modernes, par exemple les chefs de la religion marxiste l’ont fait sans difficulté. 

      "Propagandiste volubile du régime soviétique et du marxisme-léninisme, Lyssenko grimpe les échelons du Parti communiste de l’Union soviétique et, rompant avec le scepticisme rationnel et avec la méthode expérimentale, dénonce comme « contre-révolutionnaires » les généticiens scientifiques qui osaient discuter ses postulats. Lyssenko entend « appliquer la dialectique marxiste aux sciences de la nature » et, inversement, à démontrer la validité de la méthode dialectique par les sciences naturelles. Bénéficiant du soutien de Joseph Staline, il gagne encore en influence et élimine sans états d’âme ses adversaires, jugés comme « saboteurs » et déportés au Goulag." https://fr.wikipedia.org/wiki/Lyssenkisme


    • tobor tobor 16 octobre 2018 01:59

      C’est la notion d’infini qui est mise à mal ici.
      Tout ce qu’on peut ajouter à l’infini s’y engouffre instantanément.
      Ce qu’on peut ajouter à l’infini ne va jamais nous tomber dessus tout seul ou par hasard, c’est juste la recherche infinie d’un concept flottant.


    • Alcyon 16 octobre 2018 18:48

      @imago humilité ? HUMILITE ? SERISEUEMENT ?

      Mais bordel, on parle bien des gars qui offraient une explication mystique à tous les phénomènes comme la foudre, la pluie, etc. Tu appelles ça de l’humilité ? Tu ne comprends pas le sens de ce mot.


  • Heron Heron 14 octobre 2018 21:23
    Ce genre de vidéo idéologiquement puérile c’est à dire matérialiste, omet de dire que la matière ne représente que 4% de la masse de l’univer, et que ce que l’on nomme le vide est en réalité le tout, c’est à dire remplit d’énergie, d’informations..
    Bref tout dépend du point de vue comme le dirait si bien obi wan kenobi

     smiley

    • Isdomir Isdomir 14 octobre 2018 22:30

      @Heron
      Je crois pourtant qu’il y a bien un consensus partagé par tous les scientifiques présents dans les vidéos : dans l’état actuel des connaissances scientifiques, un peu plus de 95% du contenu de l’Univers nous est inconnu...

       
      "la matière que nous connaissons et qui constitue toutes les étoiles et les galaxies ne représente que 5 % du contenu de l’Univers." (CERN)

       

    • Isdomir Isdomir 14 octobre 2018 23:00

      Aurélien Barrau explique ici les 5% de matière "normale" et les 95% qu’on tente de comprendre (matière noire "anormale", énergie sombre...).


    • sls0 sls0 14 octobre 2018 23:16

      @Heron
      Ca dépend du point de vue, pour certain la masse est assez matérialiste, ce n’est pas une création de l’esprit.

      Avec le boson de Higgs, le vide est il vide ?

      Energie et information c’est matérialiste.

      Il y a la définition de matérialiste sur internet, c’est l’opposé de spiritualiste. La conscience dans ou hors du corps pour résumer.


  • zygzornifle zygzornifle 15 octobre 2018 08:58

    Il y a peut être des univers et d’autres dimensions composées d’autres univers etc ....


    • tobor tobor 16 octobre 2018 01:48

      @zygzornifle
      "Il y a peut être des univers et d’autres dimensions composées d’autres univers etc ...."
      .
      Vision rendue "possible", "crédible" et "séduisante" grâce au psychédélisme.


  • zygzornifle zygzornifle 15 octobre 2018 08:59

    On est comme une fourmi au pied d’un immeuble , on ne voit qu’a quelques centimètres et on ne comprend pas a quoi cala sert ....


    • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 09:57

      @zygzornifle
      Des fourmis, oui, mais des fourmis qui construisent des téléscopes de plus en plus performants : ELT


    • zygzornifle zygzornifle 15 octobre 2018 11:26

      @Isdomir

       chic je vais pouvoir enfin voire ma retraite ....


    • gaijin gaijin 15 octobre 2018 12:34

      @Isdomir
      une fourmis peut elle construire un télescope ( ou autre chose ) pour percevoir ce qu’elle ne peut concevoir ?


    • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 12:46

      @gaijin
      A ma connaissance, les fourmis ne construisent pas de téléscope.


    • gaijin gaijin 15 octobre 2018 12:56

      @Isdomir
      réfléchissez y bien ...........


    • Belenos Belenos 15 octobre 2018 20:49

      Nos instruments de mesure sont construits à nos mesures, de sorte qu’on peut donner raison à Protagoras : "l’homme est la mesure de toute chose". Mais seulement de toutes les choses qu’il mesure avec sa propre mesure. Le cerveau humain se sentira toujours capable de comprendre l’univers et trouvera toujours confirmation de ses hypothèses puisqu’il perçoit l’univers à travers son propre système d’interprétation. C’est comme prétendre vérifier qu’un mètre mesure bien 1 mètre en utilisant ce même mètre. Ben, oui, de cette manière, on va scientifiquement constater que ça mesure bien 1 mètre.  smiley Quant à savoir ce qu’est "réellement" l’univers incommensurable "en dehors" ou "indépendamment" de cette mesure humaine, c’est une autre affaire ! Et cette affaire n’est pas à la portée de la pensée, qui perd ici son temps. La pensée est très utile pour mesurer notre monde limité de façon pratique et commode. Il ne faut pas lui demander plus. 


  • zevengeur 15 octobre 2018 10:54
    Pas un mot sur le modèle Janus de Jean Pierre Petit ?


    • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 15:12

      @zevengeur
      Un oubli....


    • Alcyon 16 octobre 2018 18:50

      @zevengeur encore heureux, les modèles bancals, non merci.


    • zevengeur 17 octobre 2018 10:50

      @Alcyon

      Alors vous devez être en mesure de démontrer point à point en quoi le modèle Janus est bancal ?


  • Le Celte 15 octobre 2018 11:53

    Univers cytoplasmique constitué à hauteur de 97% de plasma canadadry, 2% d’une membrane de forces qui le sépare du néant et 2% ( +1 d’intérêts) de petits organismes euphoriques qui prennent l’apéro en attendant le déluge !... smiley


  • Emile Mourey 15 octobre 2018 13:08

    Et si c’était beaucoup plus simple ?


    À supposer que notre monde humain touche à sa fin, ce qui paraît probable, conséquence d’une liberté de pensée humaine mal conduite et suicidaire, notre terre sera-t-elle capable de recréer une évolution de même type ou de redevenir une planète morte ? Ainsi que notre univers, vu que, jusqu’à nouvel ordre, aucune autre vie intelligente que la nôtre n’y a été détectée. 

    À moins qu’il faille raisonner dans la théorie des univers multiples ? À savoir que pour qu’il y ait une probabilité infinie pour que fleurisse sans cesse la pensée libre et créatrice, cela implique une multiplicité de mondes.

    En fait, cela nous amènerait à raisonner suivant les schèmes que nous sonnaissons dans le domaine de l’évolution.

    Triste conséquence pour notre monde humain qui, dans cette hypothèse, se situerait dans la probabilité des mondes qui échouent et qui meurent.

    J’avoue que j’ai un peu honte d’évoquer une hypothèse aussi simpliste, mais dans ce cas, l’intérêt serait qu’on rejoindrait la pensée de Stève Hawking qui a cherché Le Dieu que nous avons imaginé au cours de notre Histoire et qui ne l’a pas trouvé, tout simplement parce qu’il ne pouvait pas le trouver, tout au moins ainsi.

     

    • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 15:34

      @Emile Mourey
      C’est humain de s’interroger sur la place de "notre monde humain" dans l’univers, ou dans les univers... Les réponses apportées sont-elles (humaines) trop humaines ?


    • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 15:59


      Un large éventail en tout cas, des plus anthropocentriques aux moins anthropocentriques, des plus "hasardistes" aux plus déterministes, etc.


    • PumTchak PumTchak 15 octobre 2018 17:37

      @Emile Mourey

      Ainsi que notre univers, vu que, jusqu’à nouvel ordre, aucune autre vie intelligente que la nôtre n’y a été détectée.

      J’ignore si vous connaissez "Patience dans l’Azur" de Hubert Reeves, mais ce que vous écrivez, c’est sa thèse. Et c’est l’évidence qui s’impose à travers l’histoire de l’univers, du Big Bang à l’organisation de la vie sur Terre qu’il décrit.

      Si nous sommes dérisoire au milieu des espaces infinis, l’espèce humaine est par contre un sommet de la complexité que l’univers a produit. Nous sommes des organismes vivants que la planète recréé, nous sommes des êtres conscients, comme les animaux, nous sommes la seule espèce à être conscients d’être conscients, c’est à dire rendre à lui-même tout ce qui existe. Et être au sommet de la complexité veut dire en être un résultat : la planète n’a pas besoin de nous pour vivre, mais nous avons besoin de la vie de la planète pour exister. C’est la religion que j’aurais bien voulu connaître. Nous sommes nous mêmes des dieux, d’un certaine manière, ce qui est une affaire de responsabilité. Notre destinée humaine aurait pu être d’aller essaimer la vie sur les autres planètes sans vie du système solaire et ainsi contribuer à l’intelligence de l’univers. Mais on n’ira pas terraformer la planète Mars, si on n’est pas capables d’entretenir notre planète alors qu’elle a déjà été terraformée.

      Notre conscience d’être conscient a ouvert toutes sortes de possibilités et toutes sortes d’incertitudes, notamment la question angoissante de notre immortalité. C’est la raison du succès des religions abrahamiques, avec un dieu hors de tout, sorti de rien pour pouvoir y thésauriser notre vie éternelle et ainsi renoncer à la vie réelle pour laquelle nous devions œuvrer.


    • tobor tobor 16 octobre 2018 01:43

      @Isdomir
      "C’est humain de s’interroger sur la place de "notre monde humain" dans l’univers, ou dans les univers... Les réponses apportées sont-elles (humaines) trop humaines ?"
      .

      On arrive déjà pas trop à comprendre sa place de monde humain sur la planète, ni de monde humain dans notre système solaire, ni dans la galaxie. Pourquoi/comment comprendrait-on notre place dans un Univers dont on ne comprend pas le concept ?!
      C’est chercher pour chercher, ça occupe et pour certain/es, ça paye sûrement bien.


  • louis 15 octobre 2018 13:55

    l’univers peut également être un élément d’une matriochka ? qui elle même fait partie d’une autre et ainsi de suite tout ceci dans l’infini .

    quand nous ne connaissons ce qui nous dépassent encore pour des siècles , peut être des millénaires , on peut tout imaginer .si notre lent suicide n’est pas arrivé a son terme .


  • Isdomir Isdomir 15 octobre 2018 18:26

    La matière noire court toujours

    04.06.2018, par Xavier Müller

    Alors que son existence est soupçonnée depuis plus de soixante-dix ans, la matière noire continue d’être traquée par des équipes du monde entier. Récit d’une quête inachevée... (l’article sur cnrs.fr)


  • tobor tobor 16 octobre 2018 01:33

    Il me semble que "l’Univers" décrit le contenant le plus large imaginable. S’il devait un jour être contenu dans quelque-chose, on n’aurait qu’à étendre son champs à ce nouveau contenant.
    Le problème serait essentiellement de trouver un nom pour ce qu’on appelait auparavant "l’Univers".
    On aurait moins de chance de partir en vrille.


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