samedi 27 octobre 2012 - par mat-hac

On nous a caché le Thorium

Contrairement à ceux qui croient que l'argent est une richesse alors que ce n'est qu'un moyen d'en avoir, il faut savoir que l'énergie est la base essentielle de notre économie. En effet nous avons en tête les révolutions technologiques comme le domptage du feu puis de l'animal, puis celui de l'énergie fournie par le soleil et l'eau, puis celui des énergies fossiles, enfin l'évolution vers la science des isotopes.

Notre économie est donc basée sur la recherche d'énergie. Il faut cependant savoir que les énergies sont beaucoup plus abondances que l'on croit, sur Terre et dans l'Univers en création. Il est en effet de plus en plus prouvé que l'univers est toujours en création.

 

 

 

Pourquoi l’énergie ?

Il convient d’abord de dire que toutes les énergies dont nous disposons sont naturelles, et que la nature contient aussi l’ensemble de l’univers, que nous essayons maintenant de maîtriser. L’humain ne fait que manipuler la nature grâce à la science et à sa créativité.

Ensuite nous ne pouvons être nombreux sur la planète que grâce aux énergies permettant de :

  • Chauffer les aliments et empêcher les maladies.

  • Maîtriser la nature avec les outils industriels et la science.

  • Nous donner du temps pour réfléchir afin de faire évoluer notre science et notre industrie.

Ainsi on peut dire que notre économie est basée sur l’énergie, pas sur l’argent.

Le feu

Au départ nous avions besoin de grands espaces pour nous nourrir, car nous vivions de la chasse puis de la cueillette. La chasse sans l’énergie fournie par le feu ne permettait pas de survivre suffisamment longtemps, car le feu nous permettait de chauffer les aliments afin de les conserver plus longtemps. Nous nous sommes vite sédentarisés avec la cueillette, mais nos premières villes était minuscules, car il fallait à l’époque une surface de 10 km2 par habitant pour survivre grâce au feu.

La maîtrise de la faune et de la flore

L’irrigation et l’élevage nous ont alors permis d’augmenter les gains par surface. Puis l’écriture nécessaire à la finance permit de mettre par écrit les réflexions de nos scientifiques et penseurs, dont certains, comme Aristote, ont défini que la démocratie réelle et donc participative permet d’optimiser une société pour servir l’humain. Les grecs ont ainsi défini sans le penser tous qu’une société basée sur l’esclavage des personnes ne sert pas l’humain et court donc à sa perte. Ainsi les esclaves ne créent pas suffisamment de travail pour le reste de la population entraînant les famines et une implosion de la société.

L’énergie du soleil

Il faut savoir que, d’après les scientifiques et le livre définissant l’économie, de Lyndon Larouche, l’énergie fournie par le soleil est de 0,2 kW/m2. Le moulin à vent fut ainsi une belle invention, car il permit de maîtriser une partie de l’énergie fournie par le soleil. Cette énergie était directement transformée en travail d’outils, qui n’avaient pas besoin de fonctionner à plein temps. Ainsi le pain est depuis plus facilement assimilé. Alors une éolienne de même ampleur qu’un moulin à vent ne pourra pas fournir un travail aussi optimisé qu’un moulin à vent de la même époque. En effet une éolienne va transformer le vent en électricité, elle-même de nouveau transformée en travail d’outils ou en chaleur.

Les moteurs

Le moteur à explosion a alors permis de mieux maîtriser la nature. On a ainsi pu réaliser des grands travaux permettant de stocker l’eau, puis de s’en servir en inventant l’hydroélectricité. L’ensemble des barrages que nous avons construits ont alors apportés à la nature une expansion sans précédent. Il est à noter qu’il reste encore des grands travaux à effectuer, notamment celui de rediriger des grands fleuves allant directement vers la mer vers les déserts, servant actuellement et pour certains à l’élevage, malheureusement.

La fission puis la fusion

Lyndon Larouche, le scientifique et économiste américain ayant déterminé la crise d’aujourd’hui dès les années 1950, indique que le nucléaire est certes coûteux, mais que l’énergie provenant des atomes, et non plus des liaisons au sein des molécules, permet de dégager une énergie considérable, permettant suffisamment d’énergie pour le travail de nos outils et même de notre chauffage. Sachant que la science des isotopes et donc des atomes est plus productive en énergie que la science des liaisons chimiques et des molécules, nous pouvons donc disposer d’une énergie considérable en cassant voire en fusionnant des atomes.

Les écologistes sont d’accord pour dire que la fusion est écologique. Seulement ce que beaucoup ne disent ou ne savent pas c’est que les étapes qui mènent vers la fusion permettront de brûler les déchets des centrales de la génération précédente. C’est pour cela que l’on dit que les EPR ne créent pas de nouvelle génération de centrales. Ces centrales sont des centrales à uranium.

La fission nucléaire nécessite quant à elle effectivement des ressources peu présentes, cependant suffisantes pour passer à l’étape suivante. Mais la fission nucléaire aurait dû être celle du thorium, 4 fois plus présent que l’uranium, permettant des centrales ayant existé et produisant 4 fois moins de déchets 100 à 10 000 fois moins durables. Ces centrales au Thorium ont été testées dans les années 1960 à Oak Ridge pendant 4 ans. Déjà les réacteurs à sels fondus existaient et permettaient moins de risques.

Ainsi les centrales de génération suivante pourront être arrêté beaucoup plus facilement qu’actuellement. Le thorium aurait dû être un choix orientant nos pays vers la paix. La fission a pour seul objectif la mise en place de la fusion nucléaire, par l’hydrogène voire plus facilement par l’helium 3, permettant de brûler les déchets de la fission nucléaire.

 

 

Conférence : Énergie nucléaire : de la production d’électricité à la gestion des déchets

 

 

Le danger du plutonium

En découvrant de nouveaux isotopes radioactifs dans les années 1960, les chercheurs ont été orientés vers la production du plutonium, le déchet permettant l’arme nucléaire, aujourd’hui inutile parce que la plupart des pays puissants l’ont. Nos politiques agissant d’ailleurs plutôt comme des enfants ne comprennent pas les dangers de cette puissance. Ou bien ils ne les connaissent qu’après y avoir réfléchi, comme Paul QUILÈS. Paul QUILÈS indique que le désarmement nucléaire implique une coopération active entre les pays, basée sur l’utopie.

Le danger des guerres

Les politiques sont élus par le peuple, qui ne maîtrise lui-même pas suffisamment la science des guerres, pour lesquelles la finance organise une propagande démesurée. On se rappelle ainsi des guerres prétendument sans dommages collatéraux avec la guerre d’Irak. En regardant de plus près on voit que les salafistes n’existaient pas lors des révolutions du printemps arabes. Aussi l’instabilité en Syrie a permis d’engager des mercenaires par l’Arabie saoudite créant une possibilité de guerre de Syrie, pour laquelle l’Iran puis la Chine risquent fortement de s’engager contre les États-Unis, qui sont eux du côté de l’Arabie saoudite et du Qatar. Ainsi l’éducation est à chaque fois mise à mal, car elle permet d’empêcher certaines guerres.

Le photovoltaïque

Le photovoltaïque que l’état sur-finance actuellement est en lui-même pire que les agrocarburants. En effet au moins avec les agrocarburants il y a des plantes, alors que les panneaux photovoltaïques remplacent les plantes. Ainsi les serres coûteuses mises en place par des rentiers empêchent aux plantes qui sont à l’intérieur de pousser au mieux. En plus le coût en énergie d’un panneau photovoltaïque est considérable, alors que, rappelons le, l’énergie fournie par le soleil est de 0,2 kW/m2. Enfin comme les éoliennes il est préférable d’utiliser des fours solaires ou bien des panneaux solaires à eau chaude, pourtant peu efficaces, plutôt que de passer par l’intermédiaire électricité.


 

Sources

  1. http://fr.wikipedia.org/wiki/Cycle_du_thorium

  2. http://www.solidariteetprogres.org/documents-de-fond-7/economie/alors-vous-voulez-tout-savoir-sur-economie - livre sur l’économie

  3. http://www.geowiki.fr/index.php?title=Monazite-%28Ce%29

  4. http://www.mindat.org/min-2752.html



26 réactions


  • mat-hac matthius 27 octobre 2012 15:38

    Il y a aussi cette vidéo :
    http://www.youtube.com/watch?v=M4MgLixMrz8

    Les sources de thorium françaises ne semblent pas intéressantes pour tout de suite :
    http://www.france-analyse.com/Independance-energetique-de-la

    Mise à jour de l’article :
    http://www.france-analyse.com/Histoire-de-l-energie


    • Voter Après la Monnaie Voter Après la Monnaie 28 octobre 2012 18:59

      Vous n’avez pas cité une seule fois le scénario de negawat, dans votre article.
      C’est fait exprès pour censurer ou vous ne connaissez pas ?
      .
      Quant à votre accroche de départ : "la monnaie n’est qu’un moyen", waf waf waf.
      .
      Encore un utopiste qui n’a pas compris que la monnaie devait être rare pour avoir de la valeur et qu’étant rare, forcément, elle est une "richesse".
      D’ailleurs, si nous sommes dans une telle "merde" énergétique, c’est uniquement parce que notre société est basée sur la monnaie, et non parce qu’on manque de connaissances en matière d’énergie.


  • rastapopulo rastapopulo 27 octobre 2012 15:55

    C’est moi ou c’est brouillon comme texte ? Il y a déjà des erreurs comme "Le moulin à vent fut ainsi une belle invention, car il permit de maîtriser une partie de l’énergie fournie par le soleil.".
     
    Je trouve aussi stérile d’imposer la supériorité de Larouche avec des "Lyndon Larouche, le scientifique et économiste américain ayant déterminé la crise d’aujourd’hui dès les années 1950" (il avait déjà la qualité d’être anti-british à l’époque et devait déjà analyser la séparation du pakistan de l’Inde comme une manip’ mais pour le reste rien n’était défini) alors que présenter ses propectives de manière neutre suffit. 


    • mat-hac matthius 27 octobre 2012 16:07

      Je dis que les éoliennes sont énergétiquement et en théorie moins intéressantes que les moulins à vent parce qu’il y a un intermédiaire.
      Je cite toujours un auteur avec son nom et son prénom.


    • rastapopulo rastapopulo 27 octobre 2012 16:37

      Je suis globalement d’accord avec Lyndon mais pas sur cette genèse (au départ l’homme n’est pas un chasseur, nous mangions dans les fruits les protéines des insectes qui ne sont pas différentes de celles des animaux hormis que lors des glaciations il n’y avait plus de fruits !), ni sur le tout pesticides ou OGM (je pense que les OGM avec des gênes de pesticides sont une aberration intellectuelle) qui en découle. La survie rejoint très bien la vie avec des énergies denses sans déchets comme le thorium ou les techniques du documentaires "les moissons du futurs".
       
      Pour ton texte, j’aimerais comprendre. Le vent est un produit final du soleil ou tu n’acceptes pas la critique ? Il me semble en tout cas que le vent n’est pas le produit de (je cite) "l’énergie solaire" mais plutôt de l’attraction gravitationnelle couplé à celle de la lune et à la fluidité des océans.


    • rastapopulo rastapopulo 27 octobre 2012 16:41

      oups, l’énergie du soleil peut être compris comme son attraction. Désolé d’avoir continuer la tergiversation sur ça.


    • mat-hac matthius 27 octobre 2012 16:43

      C’est le soleil qui crée l’agitation des océans.
      Effectivement nous avons commencé par la cueillette. Merci...


    • franck2012* 27 octobre 2012 17:54

      Je viens de voir un documentaire d’Arte : un monde sans humains .... et la théorie de la ’ singularité ’ , le ’ transhumanisme ’ ....
      .
      http://www.arte.tv/fr/un-monde-sans-humains/6968904.html
      .
      Vous autres scientifiques, matthius, vous avez toujours raison ... le thorium tout ça .... ?


    • rastapopulo rastapopulo 27 octobre 2012 18:07

      Une roue ou un vêtement est déjà de la méchante techno-science. Un peu bizarre de dénigrer son propre coté scientifique.


    • robert biloute 28 octobre 2012 12:53

      Les vents prennent leur source dans un déséquilibre thermique, ce déséquilibre est à ma connaissance généré par le chauffage solaire.

      De toute façon on peut dire que toute énergie terrestre, à part la radioactivité et la géothermie, est issue de l’énergie solaire. (pour la radioactivité on pourrait même dire que ça vient également d’une énergie solaire, mais d’un autre soleil que le notre) 

    • ffi 30 octobre 2012 10:36

      Cela dit, pendant certaines tempêtes, des champs électriques de plus de 1000 Volt par mètre ont déjà été mesurés...


  • franck2012* 27 octobre 2012 18:14

    Mais avec toutes ses énergies : Nucléaire, Thorien, solaire, éolien, hydrolien, gaz de schistes ... et que sais-je encore .... est-ce qu’on ne va pas vers un monde avec trop d’énergie. Genre
     .... bof je laisse ma télé, mes pc, mes lumières allumées, puisque de toute façon il y a trop d’énergie !
    Ce serit un comble avouez !


    • robert biloute 28 octobre 2012 14:51

      Arthur C. Clarke évoque ce problème dans un des bouquins de la série 2001.

      On arrive à développer une technique pouvant délivrer quelques GW à chaque personne, sans pollution et sans problème de ressources.
      Au bout du compte, et à cause du principe d’entropie, tout le monde utilise une énergie phénoménale, dont une partie se dégrade irrémédiablement en chaleur. Cela débouche sur ce que l’auteur appelle une "crise thermale" : la température augmente..

  • FritzTheCat FritzTheCat 28 octobre 2012 10:01

    Merci pour cette vidéo même si elle dérange les escrolos.


    • Caracole AgeNu 29 octobre 2012 00:36

      oui, merci...
      .
      Et sinon le Thorium provoque-t-il des mutations génétiques utiles ? Genre 4 bras, 6 pieds, 3 seins...


  • Kuota 28 octobre 2012 23:00

    Permettez moi d’émettre des doutes. On nous présente souvent des nouvelles super techniques révolutionnaires qui au finale font un bides... aussi je suis sceptique et je me renseigne avant de m’enflammer et voilà ce que je trouve comme infos : 


    Faiblement radioactif, le thorium 232 se désintègre très lentement (sa demi-vie est environ trois fois l’âge de la Terre, 14,05×109 années). Le thorium se trouve en petites quantités dans la plupart des roches et sols, il est quatre fois plus abondant que l’uranium, à peu près aussi fréquent que le plomb. Un terrain normal contient en moyenne environ 12 parties par million (ppm) de thorium.
    Des problèmes techniques dans le retraitement et dans le recyclage non encore résolus de façon satisfaisante, en raison du thorium hautement radioactif 228Th (qui n’est pas transformé en 233U et s’accumule au fil des cycles) ;

    Cela contredit ce qui est dit, a savoir que le thorium est moins polluants ?? 

    Enfin, il me semble que son usage ne s’affranchie pas de l’Uranium : 
    Bien qu’il ne soit pas fissible lui-même232Th est un isotope fertile comme l’uranium 238. En réacteur, il est susceptible d’absorber un neutron (thermique ou rapide) pour produire un atome d’uranium 233, qui est fissible.

    Ce combustible est un mélange de fluorures d’uranium 233, un isotope de l’uranium, et de thorium 232, un des deux noyaux fertiles2 présents dans la nature. L’uranium 233 qui n’existe pas à l’état naturel peut être remplacé pour le démarrage du réacteur par de l’uranium 235 ou du plutonium. Dans le premier cas, la mise en oeuvre est compliquée et peu efficace et dans le second, on produit énormément d’actinides mineurs radioactifs. La solution ? Produire l’uranium 233 à partir d’un REP utilisant partiellement du thorium au lieu de l’uranium.




    • rastapopulo rastapopulo 28 octobre 2012 23:23

      Il me semble que les 2 informations se complètent. C’est en consommant les désintégrations incomplètes que le besoin de thorium est minime et le rendement X50 à 100.

      Sur les actinides mineurs, c’est justement le projet Myrrha que j’ai présenté qui sert de à leur recyclage. Il y est expressément dit qu’il reste même après réaction des déchets, mais après réaction, ils sont minimes et de demi-vie très courtes et sans comparaison avec le produit de départ.


  • wesson 29 octobre 2012 01:31

    Pfff, le thorium est l’une de ces fausses bonnes idées que on entends régulièrement.


    Certes il génère moins de "déchets", mais certains sont bien pires que la filière classique : Le proactinium 231 (période 3.3 millions d’années), qui bien que non transuranien est l’un des contributeur majeur à la radio toxicité à très long terme des déchets nucléaires. Il y a aussi l’Uranium 232 qui est inévitable. C’est un émetteur gamma de période 69 ans quand même.

    C’est d’ailleurs la vrai raison de la non utilisation de la filière thorium : ses produits de fission émettent des rayonnement gamma qui traversent tout, mettent en panne toute électronique et nécessitent que absolument toute manipulation se fasse par télécommande avec des robots, sans présence humaine.

    Sans compter que, effectivement il y a eu relativement peu de recherches sur ce carburant, et que on est loin à ce jour de pouvoir industrialiser.

    Bref, une fausse-bonne idée de plus. Du coté de l’éolien offshore, c’est nettement plus sérieux même si 20 MW c’est pas encore pour demain, c’est atteignable dans un temps raisonnablement court.

    • ffi 29 octobre 2012 10:44

      SVP : cessez de mélanger les mégawatts et les mégawatts-heures ! Ca montre que vous n’avez pas saisi les problèmes inhérents à l’éolien : l’intermittence de la production énergétique.
       
      On ne peut pas baser une économie sur des processus aléatoires...
       
      Quant aux rayons gamma, il s’agit d’une source d’énergie, et il devrait donc être possible de la capter.
       
      Mais le problème est que la science moderne ne comprend plus rien à la lumière, car elle est revenue à la théorie de l’émission de Newton...


    • wesson 30 octobre 2012 10:41

      "Quant aux rayons gamma, il s’agit d’une source d’énergie, et il devrait donc être possible de la capter."


       smiley

    • ffi 30 octobre 2012 14:44

      Déjà, pour ta gouverne, 1,30 mètre de béton stoppe 99% des rayons gamma...
       
      Sinon, les rayons gamma, suffisamment ralentis, il vont se scinder naturellement en une paire électron/positon, les positons étant captés, et donc tu en obtiendras un courant électrique.
       
      Le mieux ce serait de profiter de ce rayonnement, réaliser un pompage optique avec, pour en faire un rayon laser, puis projeter le tout sur un gros bloc de métal, de manière à l’ioniser et récupérer ainsi le courant.
       
      Mais sinon, la voie qui me semble très prometteuse, c’est celle de capter l’énergie des éclairs. Il est démontré que c’est possible. Mais pour l’envisager, il faut comprendre ce qu’est la lumière...


  • ffi 29 octobre 2012 10:56

    Dans l’article, il est écrit :
    il est de plus en plus prouvé
    ...
    Qu’est-ce que cela signifie ?
    Soit une chose est prouvée, soit elle ne l’est pas.
    On ne peut prouver quelque chose à moitié ou aux trois quarts...
     
    Quant à la néguentropie... L’entropie est une fonction d’état thermodynamique, qui permet de décrire la chaleur dans certains cas particuliers Q = T.dS, lorsque le phénomène est réversible (et alors on sait que Q/T est une différentielle totale exacte et dS est intégrable). Mais, si le phénomène n’est pas réversible, alors la notion d’entropie n’a plus de sens, il me semble.
     
    Donc je ne vois pas comment, physiquement, on peut définit une néguentropie...


    • mat-hac matthius 29 octobre 2012 11:24

      Je dis qu’on essaye toujours de croire que rien ne se crée alors qu’il y a de plus en plus de preuves indiquant le contraire.

      On a tnouvé des galaxies plus vieilles que le big bang.

      Aussi on s’aperçoit maintenant que l’univers augmente son énergie. Voici la vidéo :
      http://www.youtube.com/watch?v=voq3Wfr5cho


    • ffi 29 octobre 2012 12:04

      Dans le monde qui nous environne aujourd’hui, sans entrer dans des spéculations illusoires, rien ne se crée ex-nihilo.
       
      Le principe physique de base est la constance de l’énergie.
       
      De plus, toute énergie n’est pas utilisable, c’est-à-dire convertible en énergie électrique ou mécanique, car il y a toujours des pertes (entropie, chaleur).


    • mat-hac matthius 29 octobre 2012 13:38

      Donc d’après vous il ne devrait pas y avoir d’univers. Ce n’est pas parce qu’une loi est vraie sur Terre qu’elle est vraie sur tout l’univers.


    • ffi 29 octobre 2012 17:39

      Il ne m’est pas utile de présupposer que les lois de création des choses soient similaires aux lois de fonctionnement des choses. L’univers est, c’est une évidence manifeste. Je n’ai pas besoin d’une mythologie pour le constater. Je n’ai pas besoin d’une mythologie pour comprendre ses principes d’existence.
       
      Maintenant, je suis un Être localisé, dans l’espace (ici) et dans le temps (maintenant).
      Toute application des connaissances physique en l’économie ne peut se baser que sur des lois physiques valides ici et maintenant, sinon, c’est de l’utopie.


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