Le vote électronique autorise la fraude
Seul le vote électronique qui imprime un bulletin de vote est valable. Sans bulletin de vote impossible de tracer la fraude.
7 réactions
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Marioupol
31 mai 2016 14:54
Oui mais cela on le savait.... puisque nous avons un PC vous et moi Matthius.
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Ma réponse : jamais je n’appuierais sur un bouton pour voter. Je préfère encore rejoindre le mouvement des ’ abstentionnistes ’ plus grand parti de France *
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La mouche du coche 1er juin 2016 13:11Si il y a encore des crétins qui n’ont toujours pas compris et qui votent, bien fait pour eux.
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joelim
8 juin 2016 23:54
@La mouche du coche
Et pour nous malheureusement, si la reine hystérique l’emporte :
https://medium.com/@spencergundert/hillary-clinton-and-electoral-fraud-992ad9e080f6#.jz67zd1nz
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Maetha
1er juin 2016 12:54
Déjà le nom : "machine à voter", cela laisse rêveur...
A-t-on demandé, par vote papier classique, l’avis des citoyens qui n’auront plus qu’elle pour y exprimer leurs votes, de s’exprimer sur ce choix, présenté comme un "progrès" ( = "modernisation" en novlangue XXIème siècle tout neuf) ?
Zéro transparence, donc pas crédible = fin de la confiance => mieux vaut s’abstenir.
Question : lorsque les majorités se situent entre 0,1% et 0,5%, combien faut-il de machine à voter dans les grandes villes, pour maîtriser les résultats d’un vote national ?
Les médias se sont très peu exprimés sur l’importance de l’utilisation des machines à voter dans l’élection de Bush junior en 2000 et 2004.
Et on a vu la suite !
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izarn
2 juin 2016 13:22
Oui et l’étrangeté d’un Hofer, qui gagnant à 51,5% est battu....Par le vote par correspondance des autrichiens exilés....
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Samson
4 juin 2016 16:48
"Le vote électronique autorise la fraude"
Il n’en vaudrait sinon guère l’investissement !"Sans bulletin de vote impossible de tracer la fraude"
Et encore ! Rien n’empêche d’enregistrer autre chose que le vote imprimé, à moins de pousser l’"efficacité" jusqu’à assurer en parallèle dépouillements informatique et manuel des bulletins imprimés !Un peu cher peut-être pour une "démocratie" qui - pour l’aussi célèbre qu’enivrante valse du TINA - n’offre d’autres choix que ceux de l’interprète et de l’orchestre.
