mercredi 20 avril 2016 - par mat-hac

Deep learning - Yann LeCun, à l’USI

 

Jamais l'intelligence artificielle n'aura été aussi proche d'égaler l'intelligence naturelle qu'avec le deep learning. Notre compréhension actuelle de l'apprentissage machine, la disponibilité de données massives, d'ordinateurs parallèles rapides, et d'inspiration venant des neurosciences contribuent à l'explosion récente de cette nouvelle science qui depuis quelques années révolutionne l'état de l'art en reconnaissance de l'image et de la parole et en compréhension de la langue.

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Bien que les éléments techniques et scientifiques sous-jacents soient très complexes, la compréhension des principes fondamentaux du deep learning reste accessible à un public de non-initiés.
Professeur à l’Université de New York, Yann LeCun est aujourd’hui reconnu comme étant le spécialiste mondial de l’intelligence artificielle et a tout récemment rejoint Facebook pour travailler sur le nouveau programme FAIR (Facebook Artificial Intelligence Research) dont un des bureaux se trouve à Paris.
Cette session vous initiera à ce qui sera au cœur de l'intelligence artificielle de demain et de la R&D de Facebook.

 

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7 réactions


  • La mouche du coche 21 avril 2016 11:36

    Nous détruisons la planète et nous avec, et nous continuons de nous dire "intelligent". Quelle période d’inversion des valeurs !


  • pas-robot (---.---.115.202) 21 avril 2016 23:04

    Que signifie les mots babéliens "Deep learning" ?
    Une traduction dans notre belle langue le français serait bien mieux que ce tout globish insultant toute culture. smiley


    • sls0 sls0 22 avril 2016 04:43

      @pas-robot
      Que signifie les mots babéliens "Deep learning" ?

      La réponse est dans la vidéo.


  • sls0 sls0 22 avril 2016 06:06

    Vidéo de Matthius intéressante comme d’habitude.
    Il me semble avoir vu un paquet de R qui pourrait faire l’équivalent en plus précis mais en beaucoup plus lent.
    Intelligent ce ’’tamisage’’ qui permet un gain de temps.
    C’est beau.

    Le moins beau c’est que 50% des métiers vont disparaitre dans les 25 ans à venir avec ces inventions géniales.

    Je salut la performance de recherche mais pas son utilisation.

    Au début de son utilisation pour les chèques j’avais pris l’habitude d’écrire en chevauchant la ligne en espérant que les lettres et les chiffres barrés finissent devant un humain pour qui ça ne poserait pas de problème. D’après la vidéo ça a peut être marché, je suis fier, j’ai sauvé un dix millième d’emploi.

    J’ai vu la liste des métiers à disparaitre, je ne sais que dire à part que c’est impressionnant. C’est des universitaires qui ont fait le travail, c’est bien fait.
    C’est normal qu’ils ne connaissent pas tout les métiers d’une façon approfondie.
    En regardant des métiers ’’experts’’ qui normalement devraient être protégés et que je connaissais peut être un peu plus qu’un universitaire, je me suis aperçu que pour certains il y avait du remplaçable par du logiciel ou du robotisé.
    Je me demande s’il y a un métier vraiment irremplaçable.

    Non, actionnaire n’est pas un métier, c’est du parasitage, il ne faut pas de robot, un simple radiateur électrique dehors est aussi entropique, c’est suffisant.


    • mat-hac matthius 22 avril 2016 06:13

      @sls0
      Un robot ne peut pas trouver. Nous qui avons du mal à nous juger nous mêmes, le robot lui ne sait pas s’apprécier lui même.

      Pour moi l’intuition des scientifiques vient de Dieu, tout comme le bonheur des pauvres.


    • ldv07 ldv07 22 avril 2016 09:24

      @matthius

      Pour les scientifiques ok, mais pour les pauvres..., j’aurais dit plutôt les simples qui, je suis d’accord, ne sont pas matériellement riche.


    • ldv07 ldv07 22 avril 2016 09:27

      @sls0

      Peut-être faudra distinguer entre métiers et emplois, l’avenir ne pourra être que créatif, inventif et simple sinon nous n’iront pas beaucoup plus loin alors que l’univers s’impatiente de notre incurie.


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