mardi 1er février 2011 - par Absyne

Zeitgeist : Moving Forward

Le 3ème film de Peter Joseph dépasse 1,5 millions de vues sur Youtube, une semaine après sa diffusion gratuite sur Internet (26 janvier 2011). La version sous-titrée en français est désormais disponible.

 

Merci de regarder le film AVANT de commenter !



4 réactions


  • sonearlia 1er février 2011 23:30

    Juste un petit détail avec lequel je suis pas trop d’accord,

    il parle de chômage provoquer uniquement par l’automatisation, mais c’est oublier les délocalisation dans les pays dictatoriaux.

    • Absyne 2 février 2011 00:22

      Je pense qu’il ne voulait pas s’attarder sur toutes les sources possibles de chômage, ça n’est pas l’objet de ce film qui dure déjà plus de 2h40. Dans son film précédant (Zeitgeist : Addendum), il développe le concept de l’assassinat économique, qui explique comment sont formées les dictatures dont tu parles.
      La notion de travail telle qu’on la connait aujourd’hui est vouée à disparaître. Et plutôt que de courir après le plein emploi, nous ferions mieux de redéfinir notre conception du travail, en nous basant sur les besoins de l’humanité et des capacités de la planète. Et non sur ceux des multinationales et des capitaux.


  • zeinus2 2 février 2011 10:12

    Nous évoluons dans des sociétés où notre culture nous fait parfois oublier la logique de choses, et il est actuellement indéniable que notre économie privilégie l’entité au détriment de l’homme.

    Aujourd’hui l’argent sert à ce qui nous nuit et manque à ce qui nous sert. 
    Même si notre système monétaire a pu nous être utile pendant une longue période, il faut reconnaître qu’il est maintenant devenu un frein pour toute action sociale et avancée technologique. 
    Il est le seul obstacle à notre liberté et l’économie basée sur les ressources nous démontre qu’une autre voie, basée sur le pragmatisme des calculs et analyses scientifiques et non pas sur des avis idéologiques, est réellement possible pour peu qu’on ouvre un peu son esprit pour y laisser entre un peu de raison.

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