jeudi 5 mars 2009 - par Sophie Li

Vivre et penser comme des porcs ?


Selon Métro, "98% de la production porcine française est massivement constituée d’élevages intensifs. En France, presque toutes les truies sont élevées bloquées en cages dans des bâtiments d’élevage. Durant leur gestation, les truies développent fréquemment des boiteries, arthrites, et des troubles du comportement. Les mutilations (caudectomie, lime ou coupe des dents, castration sans anesthésie), la frustration et l’ennui comptent aussi parmi les graves problème de bien-être inhérents à ce mode d’élevage..."



7 réactions


  • (---.---.168.21) 5 mars 2009 21:04

    tres bonne info d’autres infos sur : http://voxx.over-blog.com/


  • Ulmo Ulmo 5 mars 2009 21:39

    Pourquoi en montrer si peu ?

    Montrez l’abattage aussi, ca en fera réfléchir plus d’un.

    En tous cas, pour avoir "accroché" une bonne centaine de milliers de cochons durant ma jeunesse (un toutes les 8s), je n’ai qu’une chose à vous dire :

    Label Rouge mes amis, Label Rouge...


  • Actias (---.---.176.101) 5 mars 2009 21:48

    Je sais pas comment les gens peuvent voir ça et continuer a acheter du jambon et autres charcuteries. Fabrication industrielle de souffrance et de mort. C’est la perpétuation du crime pour justifier le crime.

    Pitoyable humanité.


    • (---.---.209.250) 6 mars 2009 14:27

      Personne n’est obligé de manger de la charcuterie ni d’acheter d’acheter des chaussures de sport fabriquées pour un dollar - et permettez-moi de vous dire que le cuir en peau de porc n’est pas le plus grave.


  • bonavita (---.---.118.190) 6 mars 2009 08:52

    Charcuterie Corse ya bon, élevage en plein air, une espérance de vie en années, une alimentation diversifiée... Hum un petit figatellu


  • The DarkMystery (---.---.201.78) 6 mars 2009 17:08

    Il n’y qu’a voir des documentaires comme We feed the world ou y’en a pleins d’autre. Oui, nous sommes dans un capitalisme à outrance. C’est la réalité. Après est-ce que ça me fait du mal de manger un saucisson venant de tel ou tel usine à cochon tant que ça revient moins chère pour les français ; on se permet de bouffer malhonnêtement dans nos assiette à bas prix. Nous ne méritons que ce que nous méritons. Heureusement un vent de crise vient nous sauver et nous laisse le choix de purger la société afin de remettre de l’ordre. (mais encore suffit-il de saisir l’opportunité qu’elle nous offre)

    Le couplet de "Pitoyable Humanité", ça passe pas vraiment à travers ma gorge. Il est vrai que l’homme a connu toutes sortes de bêtises mais celle-ci aura le mérite de s’arrêter bientôt. Les gens passent tout de suite du déni au désespoir sans même se poser la question : "Est-ce que nous pouvons changer cela et comment le faire ?". Désolé pour celui qui a écrit cela mais je ne suis pas défaitiste et en plus je crois en l’homme. (C’est la jeunesse qui fait ça et aussi mon opinion philosophique sur la chose)

    Je préfère la bonne charcuterie de Corse mais j’en ai pas les moyens comme la plupart des Français. Sniff pour moi. Manger végétarien n’est pas une solution pour moi mais manger moins de viande ok (on en mange beaucoup trop d’après les médecins). Être végétarien, c’est comme demander à une économie de marché sans s’occuper d’elle et de dire vive l’écologie au dénis d’un bien qu’on ne peut enlever si facilement. Je vous rassure, il y a toujours des solutions. Sans entré dans un débat, pour l’écologie se serait les nouvelles technologies. Bon après, mon message peut paraître un peu provocateur et je m’en excuse mais je dis les choses franchement et directement.


  • david (---.---.35.204) 6 mars 2009 19:25

    Dans un élevage conventionnel, seuls les truies sont bloquées. Les porcelets et porcs engraissés sont eux dans des cases, en liberté. Un peu comme ceux qui possèdent des animaux en appartement ou en cage.

    Cependant, je ferai remarquer que le système des truies bloquées tend à disparaître puisque l’Union Européenne interdit ce mode d’élevage à compter de 2012 (normes bien-être). Les nouvelles constructions ou rénovations de bâtiment respectent déjà ces nouvelles règles depuis 2006.


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